Extraits du livre La qualité de l'eau de Benoît Saint
Girons
Quelques extraits significatifs du livre : le tabou
énergétique de l'eau pour commencer. Tout est électromagnétisme mais
l'énergie de l'eau dérange alors on en parle pas voire on nie la présence -
pourtant on ne peut plus scientifiquement naturelle - des protons et des
électrons. Les normes de potabilité ensuite. Ces normes déjà pas très
contraignantes sont en berne avec des limites de plus en plus hautes... pour
accompagner les pollutions ! La problématique des eaux en bouteilles
plastique enfin,
absurdité économique et écologique mais également sanitaire avec des taux de
minéraux beaucoup trop élevés alors que l'homme est hétérotrophe
c'est-à-dire incapable d'assimiler correctement les minéraux des eaux ! Non, décidément, il est difficile de
savoir à quelle source se vouer...
L a Q u a l i t é d e l' E a u
Préjugés, scandales et solutions
pour une eau au naturel, sans plastique
Quelques passages significatifs...
L’eau est énergie
Tout est énergie !
Je préparais une conférence sur l’eau dans le cadre du mouvement Alternatiba
lorsque je fus pris à parti :
– Vous racontez n’importe quoi, il n’y a pas d’énergie dans l’eau !
– Ah bon, il n’y a pas de protons ou d’électrons ?
Mon interlocuteur – qui travaillait pour la régie distributrice de l’eau –
préféra s’éclipser discrètement…
Depuis les découvertes de la physique quantique, il est possible – au nom de
la science et non plus de la simple intuition spirituelle – de clouer le bec
de tous les matérialistes dogmatiques : « Comment cela pas d’énergie ? Tout
n’est-il pas énergie ? »
De l'électricité aux ondes électromagnétiques en passant par – excusez du
peu – la cohésion et la stabilité des atomes et autres molécules
constitutifs de la matière et du vivant, l'électromagnétisme englobe des
domaines d'investigations considérables. Tout, en réalité, est
électromagnétisme c'est à dire interactions entre particules chargées
électriquement.
Comment l’eau H2O y échapperait-elle ? L’atome d’hydrogène formé d’un
unique proton électropositif entouré d'un électron électronégatif tournant
autour à la vitesse de la lumière ? De l’énergie ! La liaison atomique
entre les deux hydrogènes positifs et le gros oxygène négatif ? Encore de
l’énergie ! Les 1000 milliards de liaisons hydrogènes à la seconde entre
les molécules d’eau ? Toujours de l’énergie !
Faut-il que l’énergie de l’eau dérange pour nier à ce point le b.a.-ba
scientifique ?
[...]
Bref, si tout – et notamment la santé – est énergie et si l’eau représente
l’essentiel d’un corps humain, alors la qualité de l’eau ne repose-t-elle
pas avant tout sur sa qualité énergétique ? C’est ce que nous découvrirons
bientôt, après avoir analysé un certain nombre de malentendus qualitatifs…
L'énergie est au cœur de l'eau et donc au cœur du livre. Mais qu'est-ce que
l'énergie de l'eau ? La science de l’eau se nomme la Bioélectronique de
Vincent (BEV pour les intimes) et elle mesure assez simplement l'énergie de
l'eau via deux paramètres énergétiques : l'activité protonique (mesure du
pH) et l'activité électrique (mesure du potentiel redox). Nous ne sommes
donc pas dans l'ésotérisme mais dans des mesures physico-chimiques de base
et c'est peut-être cela qui dérange !
Pourquoi (presque) personne ne s'intéresse-t-il à cette énergie (protons +
électrons) de l'eau ? Eh bien simplement parce que les résultats de l'eau du
robinet et de la majorité des eaux minérales en bouteilles sont mauvais avec
des eaux alcalines et oxydantes, loin des besoins énergétiques de
l'organisme !
Qualité = Respect des normes
Erreur de technocrates !
La potabilité est liée au respect de normes mais ces normes se dégradent !
En France, le nombre de paramètres qualitatif est ainsi passé entre 1989 et
2003 de 63 à 48 dont 26 paramètres chimiques soit, rapportés aux quelques
143 000 substances chimiques présentes en Europe, un taux de contrôle
mirifique de moins de 0,02% !
[...]
Les seuils de tolérance sont également régulièrement augmentés : cinq fois
plus pour les pesticides depuis 2011, vingt fois plus pour les nitrates
depuis 1920 (50 mg/l en Europe, 40mg en Suisse).
La teneur maximale en minéraux est quant à elle passée de 500 mg à 1500 mg/l
en 1961 puis à tout ce que l’on veut depuis la Directive européenne. Pas de
valeur guide non plus pour l’OMS mais un optimum en dessous de 600 mg /
litre.Les médecins recommandent moins de 500 mg, les naturopathes moins de
200 mg mais les adeptes de la Bioélectronique de Vincent (BEV) moins de 120
mg voire moins de 50 mg…
Il y a enfin des normes incompréhensibles, comme par exemple les 200 mg de
sodium autorisés alors que les eaux de surface dépassent rarement les 20 mg…
Serait-ce par hasard pour ne pas nuire au très lucratif business des
adoucisseurs à sodium ?
Au final, « ces normes […] s’avèrent inadéquates, scientifiquement obsolètes
et inopérantes pour rendre compte de la qualité d’une eau de consommation
humaine. » selon le CriiEau de Yann Olivaux. Les normes relèvent en effet
moins de considérations de santé publique que de considérations
industrielles, techniques et/ou économiques: il y a ce que les industriels
peuvent respecter sans trop de difficultés, ce que les technologies
actuelles permettent de mesurer, ce qui arrange et ce qui ne revient pas
trop cher, sachant que la majorité de l'eau "potable" est utilisée pour
l'agriculture, l'industrie ou nos toilettes !
Déjà de moins en moins contraignantes, ces normes ne sont même pas toujours
appliquées. En France, un « non-respect ponctuel » des « références de
qualité » est ainsi possible via des dérogations de trois ans, renouvelées
deux fois au maximum : l’eau du robinet peut ainsi ne pas être potable
durant neuf ans ! Largement de quoi envisager des solutions individuelles
de filtration ou polluer un peu plus la planète à coup de bouteilles
plastiques via des eaux minérales qui, au passage, ne sont pas contraintes
de respecter les normes de potabilité…
Un livre sur la qualité de l'eau ne serait pas nécessaire si les normes
étaient contraignantes... et respectées ! Nous venons de voir que ce n'est
pas vraiment le cas.
Mais les pouvoirs publics ou les acteurs de l'eau peuvent-ils faire beaucoup
mieux que de nous protéger des risques microbiens et limiter les polluants ?
En fait non car il est impossible de rendre l'eau biocompatible en amont,
avant de la lancer avec une pression infernale dans des canalisations plus
ou moins vétustes.
La propreté et la qualité énergétique de l'eau ne peuvent ainsi être
adressées qu'en aval, au niveau de la maison ou de l'appartement, sur les
canalisations finales ou à la sortie du robinet.
Le problème ne sont donc pas tant les normes ou les technologies déployées
que le honteux marketing pour faire croire aux CONsommateurs que l'eau du
robinet est d'excellent qualité... alors qu'elle n'est que potable !
Qualité = Eaux en bouteille
Surtout pour les embouteilleurs…
Pas de chlore oxydant et moins de polluants mais des minéraux souvent en
excès et une contamination probable de plastique : le match eau potable
contre eau en bouteille n’est pas joué d’avance !
Désavantage certain pour les eaux minérales très chargées en minéraux (plus
de 1000 mg) puisque nous assimilons mal les minéraux inorganiques. Avantage
certain pour les eaux de sources, faiblement minéralisées (moins de 200 mg)
et donc moins susceptibles de nous encrasser. Les meilleures marques (moins
de 50 mg) sont distribuées en magasins bio, parfois même encore dans des
bouteilles en verre.
Sur une échelle de nocivité, le plastique PET (code 1) est certainement
moins problématique que le chlore de l’eau du robinet. Le code 7 pour
« Autres plastiques » inclut par contre le redoutable polycarbonate des
grosses bonbonnes à eau des entreprises, un plastique spécifique plus épais
afin d’être réutilisable... fabriqué à partir de Bisphénol A (BPA),
perturbateur endocrinien avéré. La France a courageusement interdit le BPA
(et donc le polycarbonate) de tous les contenants alimentaires depuis 2015
mais il n’en va pas de même partout et, comme l’écrit avec raison
l’administration suisse, rien ne prouve que les alternatives soient
forcément meilleures…
Le transport (chaque bouteille parcourt en moyenne 300 km en camion),
l’entreposage et le stockage du plastique posent d’autres problèmes.
Associer plastique et soleil, oublier sa bouteille dans une voiture
surchauffée ou stocker ses bouteilles dans son garage à côté de produits
toxiques sont de très mauvaises idées.
Enfin, le processus industriel d’embouteillage : la bouteille plastique est
moulée juste avant l’arrivée de l’eau, pour un choc énergétique du plus
mauvais effet. Sur 250 bouteilles testées en mars 2018, 93% présentaient
ainsi des résidus de plastique…(1)
Nous parlons ici de la qualité physico-chimique de l’eau. L’impact
écologique des bouteilles en plastique dérivées du pétrole ou le budget
nécessaire à l’année pour se fournir en plastique sont de toutes autres
considérations…
(1) Sherri Mason, Orb Media, Mars 2018. Du plastique a été trouvé dans 93%
des échantillons d’eau en bouteille de plusieurs marques. Il s’agissait
notamment de polypropylène, de nylon et de polytéréphtalate d’éthylène
(PET). En moyenne, les chercheurs ont trouvé, dans chaque litre d’eau, 10,4
particules d’une taille environnant 0,10 millimètres.
Personne n'aime le plastique mais il se vend 15 000 bouteilles en plastique
chaque seconde ! Masochisme ? Inquiétudes, plutôt, face aux polluants de
l'eau du robinet... et alors que les eaux "emplastiquées" ne sont donc pas
forcément très propres non plus... surtout en considérant les minéraux comme
des déchets à éliminer !
Du point de vue énergétique, c'est encore plus simple : eaux du robinet et
eaux minérales en bouteille se valent c'est à dire ne valent pas grand
chose. Une faible activité magnétique (pH plutôt alcalin) et électrique (eau
oxydée) dans les deux cas !
Que faire alors ? Eh bien passer consomm'ACTEUR et s'équiper d'un filtre et
d'un dynamiseur de qualité afin, à partir de l'eau du robinet, d'obtenir une
qualité d'eau énergétiquement supérieure à la majorité des eaux en
bouteille... et pour une fraction du coût !
Qualité = Eau au naturel
Nous y voilà !
Une bonne eau est avant tout une eau que l’organisme redemande, qui nous
apporte de l’énergie, nous nettoie et se boit avec facilité grâce à une
texture fine et hydratante.
De ce point de vue, la meilleure eau est l’eau la plus naturelle : l’eau de
source !
Les paramètres de cette eau idéale sont connus mais dérangent car ils sont
contradictoires avec les eaux traitées du robinet et les eaux industrielles
en bouteille :
• L’absence de polluants
• Le moins de minéraux possibles
• Le plus d’énergie possible
Il est rare de disposer d’une telle eau dans son jardin et à fortiori dans
sa rue et il conviendra donc de faire des compromis.
La base de travail est l’eau du robinet, disponible partout et peu coûteuse.
L’outil de travail est une dynamisation de qualité, précédée – notamment si
l’eau est chlorée – d’une filtration de base.
Toutes les filtrations ne se valent pas et tous les procédés de dynamisation
non plus. Il convient d’éviter les pièges marketing des premiers et les
travers pseudo-scientifiques des seconds.
Alors s’ouvre la compréhension de la véritable eau de qualité.
Alors, perspective écologique réjouissante, il est possible de dépasser
enfin la problématique du plastique !
Du grec "oikos" = maison-habitat, "logos" = discours, l’écologie est
étymologiquement la préservation de notre énergie fondamentale via
l’optimisation de notre environnement.
Non pas les économies d'énergie mais la préservation de notre énergie... ce
qui passe donc par la qualité de notre eau ! Tout ce que nous ingérons
devrait nous apporter de l'énergie mais, dans les faits, la malbouffe nous
bouffe et l'eau nous déshydrate... un comble !
Il reste heureusement la perspective enthousiasmante de l'eau au naturel...
via les solutions pratiques explicitées dans le livre... ou sur le site
www.eaunaturelle.fr
Disponible dans toutes les bonnes librairies
Le mendiant.fr
Auteur & Consultant Ecologique / Benoît Saint Girons / Tél: +41 76 532 8838
/ auteur[at]lemendiant.fr
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