Le scandale sanitaire des vaccins obligatoires DTP non disponibles...
et des vaccins tout court!
Notre fils a été exclu de sa crèche pour cause de non
vaccination DTP, alors que ce vaccin n'est plus disponible! Les
vaccins de remplacement contiennent des valences non obligatoires et des
adjuvants dangereux. Tous les vaccins affaiblissent en outre le système
immunitaire. La France est l'un des rares pays en Europe qui continue à
rendre obligatoire la vaccination et les pressions sur les familles dans les
structures d'accueil style crèches sont énormes. Les parents font donc
vacciner leurs enfants sans savoir ce qu'il y a dans les vaccins, les
médecins se gardant bien de les prévenir! Un scandale moral s'ajoute ainsi
au scandale sanitaire. Ne jouez pas avec la santé de vos enfants:
informez-vous et dénoncez la secte vaccinale!
VACCINS – SCANDALE SANITAIRE
NE LAISSEZ PAS LES LABOS
JOUER AVEC LA SANTE
DE VOS ENFANTS !
« Primum non nocere. Avant tout, ne pas nuire »
(Hippocrate, Père de la Médecine)
Notre fils n'a pas pu se réinscrire à la crèche en 2013 pour cause de
non-vaccination DTPolio®
Problème: ce vaccin - le seul obligatoire - n'est plus disponible depuis
2008!
Les autres vaccins proposés sont tous non couverts en cas d'accident et sont
dangereux!
Découvrez ci-dessous les détails de cette scandaleuse affaire...
PS: Ce site vise moins à régler des comptes qu'à informer et à bousculer le
dogme.
C'est la raison pour laquelle les noms ont été masqués, d'autant que le même
scandale a lieu un peu partout en France!
SOMMAIRE:
► Le saviez-vous ? Quelques données de base ► Actualité sur les vaccins
► Comment notre fils a été exclu de sa crèche
► Les alternatives au DTPolio® introuvable ► Nos différents courriers depuis
sept 2012
► Nos actions ► Ce que vous pouvez faire
► Annexe 1: comment gérer la fièvre chez l'enfant et le Paracétamol ► Annexe
2: quelques données sur les vaccins
► Extraits d'ouvrages sur le sujet ► Sélection de livres
► Réactions à quelques à quelques articles "pro vaccination sans réflexion"
© Dessin Bickel, www.bickel.fr, voir également des extraits de son livre
Le saviez-vous ? Quelques données de base...
1. Le DTPolio®, seul vaccin obligatoire n’est plus disponible depuis 2008.
Il est « remplacé » par des vaccins soit inefficaces, soit dangereux car
comportant des adjuvants chimiques ou des valences supplémentaires
(coqueluche, haemophilus, hépatite B,...)
2. Ces valences supplémentaire - non obligatoires donc - ne sont pas
couvertes par la protection de l'Etat via l'Office National d'Indemnisation
des Accidents Médicaux (ONIAM): si votre enfant développe une réaction suite
à l'un de ces vaccins, vous n'aurez plus que vos yeux pour pleurer car votre
médecin arrivera toujours à se dédouaner. Vous voilà prévenu! (Mise à jour
Nov 2013: une condamnation de l'Etat change enfin la donne!)
3. La loi n'exige pas les vaccinations en soi mais la présentation d’un
document « attestant de la situation de l'enfant au regard des vaccinations
obligatoires. » (Article R3111-17). Les règlements de crèches imposant une
vaccination ou refusant les contre-indications des médecins traitants sont
donc illégaux... mais comme la crèche est indispensable pour la majorité des
parents et non obligatoire, la pression vaccinale y est maximale!
4. La France est le seul pays européen (avec l'Italie) a encore exiger des
vaccinations et le seul a encore en exiger trois. Tous les autres pays ont
abandonné cette pratique. Les Suisse ou les Allemand sont-ils plus bêtes que
nous ? Vivent-ils en moins bonne santé ?
5. Tous les vaccins affaiblissent le système immunitaire. Une étude
Allemande portant sur 17 461 enfants a démontré que les enfants non vaccinés
ont moitié moins d’allergies que les vaccinés (22,9% contre 10,6%),
nettement moins d’asthme ou de bronchite chronique (18% contre 2,4%) ou
encore d’otite (11% contre 2%)... sans parler des risques autrement plus
grand que sont la sclérose en plaque ou la mort subite du nourrisson...
Vacciner avant l'âge de deux ans (ce que l'on fait pour entrer en crèche ou
suivre la règlementation) est toujours contre-indiqué, le système
immunitaire de l'enfant n'étant pas encore suffisamment bien développé.
6. Rares sont les médecins qui acceptent de discuter des vaccins puisqu'ils
ont reçu en tout et pour tout 4 heures de formation sur le sujet et
dépendent essentiellement des labos pour leur formation continue. Ce qui
était encore acceptable au regard des connaissances scientifiques de
l'époque de Pasteur - qui était chimiste et non médecin, a toujours refusé
de sa faire vacciner et a reconnu s'être trompé à la fin de sa vie "Le
microbe n'est rien, c'est le terrain qui est tout" (formule de Claude
Bernard) - ne l'est plus du tout au regard de nos connaissances actuelles de
l'immunologie et des virus.
7. Une cinquantaine de livres sur le marché dénoncent l'inefficacité et la
dangerosité des vaccins. Aucun de ces livres n'a jamais été condamné en
justice. Diraient-ils par hasard une vérité inavouable ?
8. Chiffre d’affaire des vaccins en 2010 : 21 milliards d’euros (contre 8,5
milliards en 2006) dont 25% du marché pour Sanofi-Pasteur… La vaccination en
France relève-t-elle de considérations sanitaires ou économiques ?
ACTUALITE SUR LES VACCINS
Mai 2020
Lancement du Conte à rebours "Santé !" sur une dictature médicale et un
vaccin obligatoire... Après les différents scandales de la crise
Coronavirus, les citoyens doivent demeurer extrêmement vigilants... Un conte
à diffuser sans modération pour développer une autre stratégie de protection
!
Décembre 2016
Résultats de la consultation "citoyenne" sur la vaccination ? Ne pouvant
décemment demander aux labos de fournir le seul DTP obligatoire (en dépit du
succès de la pétition du Pr. Joyeux, depuis radié du Conseil de l'Ordre) ou
de retirer l'aluminium des vaccins, les conclusions du rapport sont de
rendre obligatoire 11 vaccins au lieu de 3! Ainsi, plus de pénurie! Il
fallait oser y penser ! Une fois de plus, les labos semblent avoir été
davantage écoutés que les citoyens... Une carotte tout de même: la
possibilité de refuser toute vaccination, le tout dûment noté sur le carnet
vaccinal, et sans risque de poursuites pénales! Cela semble un progrès mais
il faudra être prêt alors à un petit lavage de cerveau culpabilisateur puis
à faire une croix sur toute inscription en crèche ou école non
obligatoire... De plus, la carotte pourra être retirée si le phénomène de
non-vaccination prend trop d'ampleur. Pas de doute: la France est bien la
patrie du chimiste Pasteur!
Mars 2016
Plus d'un million de signataire - dont votre serviteur - à la pétition du
Pr. Joyeux. C'est un succès mais une partie des signataires - dont votre
serviteur - a été manipulé car cette pétition ne demande nullement la
liberté vaccinale mais plutôt le retour du DTP obligatoire en jouant sur la
peur des parents vis-à-vis des 3 maladies que le vaccin est censé protéger.
La Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations le rappelle et a adressé
une lettre au Ministre de la Santé lui demandant de suspendre cette
obligation ubuesque.
Mars 2016:
Le Professeur Joyeux est-il vraiment si courageux que cela ? Certes, sa
pétition a eu le mérite le lancer un débat autour des vaccins mais s'agit-il
vraiment d'un débat de fonds ? On peut en douter à la lecture de sa dernière
newsletter (29/2/16) - ou sa laborieuse version "vidéo" - qui commence par
ces mots:
"La vaccination, c’est important. Personne ne veut voir son enfant attraper
des maladies aussi terribles que la diphtérie, le tétanos, la polio et même
d’autres maladies que la vaccination pourrait éviter [...] Ce vaccin était
sûr."
J'aimerais comprendre comment un vaccin peut-être considéré comme sûr alors
que tout médicament comporte des effets secondaires et que l'on parle ici de
vaccinations sur des nourrissons au système immunitaire encore immature...
J'aimerais que le Professeur Joyeux m'explique comment un vaccin est capable
de protéger du Tétanos (une trentaine de cas tous les ans en France, moyenne
d'âge 78 ans!) alors qu'attraper la maladie n'immunise pas l'organisme...
J'aimerais comprendre comment le fait d'affaiblir volontairement un système
immunitaire va protéger des enfants de pathologies...
Et tant que nous y sommes, j'aimerais savoir pourquoi seuls 3 pays en Europe
imposent encore des vaccinations. Les allemands sont-ils plus atteints de
Tétanos ou de Polio que nous ?
Ce n'est pas la vaccination qui est importante mais le fait d'arriver à
sortir de son dogme via une analyse rigoureuse de sa validité
scientifique... et de son impact sur la santé des enfants!
Le message du Pr. Joyeux apparait in fine pro-vaccin ce qui n'est ni
courageux ni cohérent au regard des connaissances scientifiques actuelles et
des 50 livres disponibles sur le sujet.
Que se passera-t-il lorsque le DTP sera de nouveau disponible ? Le Pr Joyeux
sera-t-il encensé pour avoir de nouveau rendu la vaccination obligatoire
sans discussion ? Quel magnifique progrès!
Parler des valences supplémentaires ou de l'aluminium, n'est-ce pas empêcher
un débat de fonds sur les vaccinations, tout comme accuser le paraben des
cosmétiques a permis d'éviter de remettre en cause la superficialité
chimique des crèmes ?
En soi, notre famille était très contente que le DTP ne soit pas disponible:
cela nous a permis d'obtenir plus facilement un certificat de
contre-indications (les vaccins actuels sont évidemment bien plus dangereux
que le seul DTP) et de préserver ainsi le système immunitaire de notre
fiston. Il faut voir du coup l'énergie qu'il a! L'absence du DTP donne en
outre à tous les parents l'excuse rêvée pour ne pas faire vacciner leur
enfants: "Désolé mais le vaccin obligatoire n'est pas disponible!"
Bref, je me demande ce qui pousse le Professeur Joyeux à tenir - 7 ans après
la disparition du DTP "classique" - un discours aussi mièvre... La peur de
mécontenter ses collègues ? Raté, il s'est fait descendre en flèche, ce qui
en dit long sur l'indépendance de ces médecins et pseudo experts... La
volonté d'être écouté ? Après 850 000 signatures pour sa pétition, il
pourrait pourtant maintenant se permettre un discours un peu plus musclé...
J'ai écrit à l'Institut pour la Protection de la Santé au Naturel (IPSN),
qui diffuse activement la vidéo, ainsi qu'au Professeur Joyeux pour leur
faire part de ces remarques. Je n'ai évidemment reçu aucune réponse... Le
Pr. joyeux est officiellement politiquement incorrect mais il semble aussi
naturellement incorrect d'oser s'en prendre à une telle icône... Quant à
oser avoir une discussion de fonds avec lui...
Mai 2015:
Le Professeur Joyeux lance une nouvelle pétition en ligne contre le scandale
du DTP introuvable. Ecouter sa vidéo audio vous donnera les (très) grandes
lignes du scandale développé ci-dessous... mais il convient surtout de
signer! ► Mieux vaut tard que jamais mais le DTP a été retiré en 2008. Près
de sept années pour qu'un médecin lance enfin une campagne d'information et
active ses réseaux! Cela en dit long aussi sur la formation médicale en
France... ou les risques de radiation via le CONseil de l'Ordre pour celui
qui refuserait de marcher droit! Est-ce parce que le Professeur Joyeux est
devenu intouchable qu'il peut se permettre de dire tout haut ce que beaucoup
pensent ?
Avril 2015:
Un grand moment de radio publique sur France Inter le 21 avril 2015. A
l’occasion de la Semaine européenne de la vaccination. L'émission Le
téléphone sonne présenté par Pierre Weill s'interroge: Faut-il avoir peur
des vaccins ? Pour la réécouter, cliquer ici
Deux invités: le Professeur François Bricaire, ancien chef du service des
maladies infectieuses et tropicales de l’Hôpital Pitié-Salpêtrière à Paris,
Professeur à l'Université Paris VI-Pierre et Marie Curie et Michèle Rivasi,
Député européenne Europe Ecologie, Vice-Présidente du Groupe des Verts au
Parlement Européen.
L'émission commence fort : le journaliste rappelle que la France demeure
l'un des rares pays à maintenir une vaccination obligatoire et que deux
nourrissons sont décédés des suites d'un vaccin contre la gastro-entérite.
Le premier auditeur rappelle en outre que le seul vaccin DTP obligatoire
n'est pas disponible en pharmacie! "A qui profite le crime ? Aux labos!"
s'exclame Mme Rivasi, rappelant le coût des nouveaux vaccins par rapport à
l'ancien DTP.
Le Professeur Bricaire démarre très fort aussi: "Si on ne vaccine pas [avec
les valences non obligatoires], on prend des risques majeurs [...] Il
faudrait [que les parents] aient une information parfaitement complète pour
justifier qu'ils refusent de vacciner leurs enfants contre des maladies
sévères [...] Ce n'est pas aux parents de juger. Les parents ne sont pas
médecins! " ► Comme si, avec quelques heures seulement de formation sur les
vaccins, les médecins étaient à même de juger et de rendre un avis fiable!
Heureusement que les parents ne sont pas médecins: ils peuvent ainsi
s'informer correctement sans passer par les lobbies médicaux... et ainsi
lire l'un des cinquante livre disponible sur le sujet!
Autre belle tirade du "Professeur": "C'est pas le problème de savoir si on a
un lien d'intérêt ou pas de lien d'intérêt [...] Les experts n'ont de
qualité d'expert QUE s'ils travaillent [avec les labos!. Les autres sont de
faux experts". ► Rires de Mme Rivasi et il y a de quoi. En gros, ne sont
experts que ceux qui reçoivent de l'argent des multinationales... Tout est
dit et on pourrait presque s'arrêter là...
Autre moment hallucinant: on apprend par la journaliste Danielle Messager -
de toute évidence pro-vaccins au détriment de la rigueur journalistique -
que l'hépatite B a été ajouté dans les vaccins obligatoires parce que de
plus en plus de parents avaient des soupçons contre ce vaccin, notamment
vis-à-vis du risque de développer une sclérose en plaque. Ni vu ni connu, je
t'embrouille! Combien de parents sont de fait informés de ce que les
pédiatres inoculent à leurs enfants ?
Attaqué par un auditeur vis-à-vis du serment d'Hippocrate ou d'hypocrite, le
Professeur: "Je n'ai pas de lien avec l'industrie pharmaceutique, je
travaille avec l'industrie pharmaceutique pour, avec eux, préparer des
vaccins et faire en sorte de protéger la population de toute une série de
maladies infectieuses." ► La nuance est subtile en effet mais depuis quand
et comment peut-on "travailler avec" quelqu'un sans avoir aucun lien avec
lui ?
Vis-à-vis du Gardasil, le plus scandaleux et dangereux vaccin à l'heure
actuelle: "Aucun effet secondaire!" ► Cher Professeur, sachez qu'il n'existe
aucun médicament allopathique sans "aucun effet secondaire" ! Chaque
médicament en possède au minimum une dizaine, précisément listés sur les
notices. Mais il est vrai que les médecins ne consacrent également que
quelques heures à l'étude des médicaments et que 98% de leur formation
continue est financée par l'industrie...
Toujours le Professeur, décidément bien parti pour remporter la palme du
nombre de bêtises débités à la demi-heure: "Les vaccins ne rapportent pas
beaucoup [aux laboratoires]" ► Pas beaucoup non, juste 21 milliards d'euros
de chiffre d’affaires en 2010 (contre 8,5 milliards en 2006) dont 25% du
marché pour Sanofi-Pasteur...
A propos d'une étude démontrant le risque de l'aluminium pour le cerveau:
"Ce n'est pas parce que c'est financé par le Ministère de la Santé que c'est
sérieux" ► Les études financées par l'industrie sont évidemment autrement
plus sérieuses...
On apprend au passage - toujours via Mme Rivasi, bien au fait du dossier -
que le Professeur Bricaire était derrière Mme Bachelot lors du scandale de
la Grippe H1N1. "Peut-être qu'on a été trop précautionneux" ► 90 millions de
doses achetés pour plus d'un milliard d'euros sur le budget de l'Etat...
Coûteuse précaution...
La journaliste rappelle qu'un quart des médecins se posent des questions
quant à l'opportunité de vacciner lorsque ce n'est pas obligatoire. ► Un
quart seulement ? Uniquement sur les vaccins non-obligatoires ? Plus de huit
années d'études de médecine lavent certainement le cerveau mais quand
même... Ces chiffres sont certainement largement sous-estimés mais quel
médecin acceptera de dire clairement qu'il est contre la vaccination sans
encourir immédiatement les foudres du conseil de l'Ordre ? D'ailleurs,
combien se font eux-mêmes vacciner ou vacciner leurs enfants ? Même question
pour les patrons des labos...
Il y a clairement des choses que l'on ne peut pas encore dire à l'antenne
d'une radio du service public: on peut éventuellement critiquer les
multi-vaccinations (quelle avancée, déjà!) mais on ne peut remettre en
question les bienfaits de la vaccination elle-même, officiellement à la base
de la réduction des épidémies. Même Mme Rivasi insistera ainsi sur le fait
qu'elle n'y est pas opposée pour les vaccins obligatoires... Voir plus bas
pour la réalité de l'efficacité des vaccins...
Après qu'un auditeur phytothérapeute ait rappelé que la sur-stimulation
immunitaire des enfants est extrêmement néfaste et qu'il existe d'autres
moyens de stimuler l'immunité, le Professeur assène un péremptoire: "La
seule façon de se protéger correctement contre une maladie infectieuse,
c'est de se faire vacciner!" ► Bel exemple de dogmatisme (ou de lavage de
cerveau CQFD). Cette vision a effectivement le mérite de déresponsabiliser
tous les malades: votre organisme est inapte à se défendre tout seul sans
les labos... Mais cette déficience immunitaire n'a-t-elle pas pour cause
justement les vaccins ?
Et le formidable dernier appel d'un auditeur globe-trotteur: "Votre sujet
est aussi culturel. Pasteur a inventé les vaccins [...] C'est quand même
embêtant [d'entendre] "On règle toutes les maladies par des vaccins" alors
que dans d'autres pays on peut traiter les choses autrement. [...] La
stimulation des systèmes immunitaires, il ne faut pas l'écarter d'un revers
de main comme ça. C'est important d'être confronté aux bactéries." ►
Excellente conclusion que Pasteur, qui a reconnu s'être trompé à la fin de
sa vie n'aurait pas forcément renié en reprenant la formule de Claude
Bernard: ""le microbe n'est rien, c'est le terrain qui est tout!"
Mars 2015:
Le Conseil Constitutionnel - qui n'y connaît évidemment rien en matière de
santé - s'est prononcé le 20 mars 2015 sur l'affaire Larère (coir
ci-dessous) et sa réponse a été - quelle surprise! - administrative: le
parlement est compétent pour « définir une politique de vaccination afin de
protéger la santé individuelle et collective ». Un rappel toutefois, au
passage, que « chacune de ces obligations de vaccination ne s'impose que
sous la réserve d'une contre-indication médicale reconnue ». En clair, avec
un certificat de contre-indication, l'administration devrait vous laisser
tranquille! Et quand l'on sait que toute vaccination est contre-indiquée
chez une personne dont le système immunitaire n'est pas encore en place (ce
qui est le cas chez les enfants), cela laisse de la marge pour trouver un
médecin non dogmatique! Dans tous les cas, ce procès et ses conclusions
(provisoires) a eu le mérite de lancer le débat! A suivre...
Septembre 2014:
Selon la lettre d'information du Professeur Joyeux du 15 octobre 2014, "le
Conseil technique de la vaccination a préconisé la levée de l’obligation de
la vaccination contre Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite (DTP)" en septembre
2014.
► Combien de temps entre la recommandation et les actes ? Pendant ce temps,
les scandales et les intimidations continuent...
Ce même Professeur Joyeux a lancé avec l'Institut pour la Protection de la
Santé Naturelle (IPSN), une pétition contre le projet de vaccination des
enfants, filles et garçons du primaire dès 9 ans, à propos du cancer du col
de l’utérus et d’autres localisations d'infections virales dues au papilloma
virus (HPV). Voir http://petition.ipsn.eu/papillomavirus.php
► Ce vaccin étant le plus dangereux à ce jour, il est effectivement plus
judicieux de signer la pétition que de faire peur à des adolescents ou des
jeunes enfants...
Enfin, dans le même temps, la famille Larère était poursuivie devant les
tribunaux parce qu'elle a refusé de faire vacciner ses enfants âgés de
15 mois et 3 ans. Les parents ont été signalés à la Protection maternelle et
infantile par un pédiatre du centre hospitalier où ils avaient fait la
visite des neuf mois de l’enfant. Le service du conseil général les a
d’abord convoqués avant de faire à son tour un signalement au parquet... «Ce
n’est pas possible de ne faire que les obligatoires. Et les gens ne sont pas
au courant. Les médecins semblent avoir plus peur des lobbies que de la
justice», argumente Marc Larère en évoquant des reportages télévisés
«éloquents» sur le sujet, dont «Silence, on vaccine»
► Ce procès a été l'occasion de faire passer quelques messages forts dont le
scandale des valences non obligatoires et, surtout de poser une question
prioritaire de constitutionnalité (QPC). La famille devrait être relaxée et
le Conseil Constitutionnel devra enfin se prononcer mais, pour faire entrer
leurs enfants en crèche ou en scolarité non obligatoire, ce sera une autre
histoire...
Comment notre fils a été exclu de sa crèche ?
- En septembre 2012, notre fils, âgé de 8 mois, intègre la crèche avec un
certificat de contre-indication de son médecin traitant, sa sœur ayant
notamment développé de graves réactions au DTPolio® (en gros: elle a failli
en mourir!).
- Il est exclu de la crèche quelques jours plus tard au prétexte de sa
non-vaccination et alors que le vaccin DTPolio® n’est plus disponible depuis
2008.
- Le Dr X, médecin de la crèche, me propose par téléphone et sans
consultation de notre fils de lui faire une injection de Revaxis®, me le
présentant comme étant « plus doux ». Or, selon le site de l’Académie de
Médecine le vaccin Revaxis® est « réservé aux personnes de plus de 18 ans
(AMM) » L’Autorisation de Mise sur le Marché a ensuite été abaissée mais il
reste « inadapté pour les enfants en dessous de 6 ans et en primo
vaccination ». En clair : il est inefficace et dangereux pour les
nourrissons. En effet, outre 2 pages d’effets secondaires, il comporte 350µg
d'aluminium, un neurotoxique actif dès 3,5 µg ! Voir plus bas la composition
de ce "vaccin".
- Suite à un courrier dénonçant cette alternative ainsi qu’à un mot de notre
médecin traitant concernant l’indisponibilité du DTPolio®, le Dr X
démissionne de la crèche tandis que notre fils est réintégré. Fin du premier
acte.
- En mai 2013, la crèche exige la vaccination obligatoire sous peine de non
réinscription.
- Nous précisons à nouveau que le vaccin légalement obligatoire n’existe pas
et attirons l’attention de la crèche sur le caractère illégal de leur
règlement : la loi ne demande pas en effet les vaccinations mais la
présentation d’un document « attestant de la situation de l'enfant au regard
des vaccinations obligatoires. » (Article R3111-17)
- En dépit de plusieurs courrier les informant également des effets
secondaires des vaccins et du fait que seuls 4 pays en Europe continuent
d’imposer des vaccins, la crèche – pourtant association loi 1901 – ne veut
rien savoir et se retranche derrière son règlement inapplicable, illégal et
nuisible aux jeunes enfants.
© Dessin Bickel, www.bickel.fr
Les alternatives au DTPolio® (Diphtérie, Tétanos, Polio) introuvable ?
- Le Revaxis® est inefficace en primo vaccination, dangereux (350µg
d'aluminium !) et inapproprié pour les nourrissons (AMM pour les plus de 6
ans !). Voir les détails de ce vaccin un peu plus bas. Et sa fiche sur
Doctissimo où il est précisé "Ce vaccin peut être administré, à titre
exceptionnel, aux enfants à partir de l'âge de 6 ans en rappel d'une
vaccination antérieure, notamment dans le contexte de pénurie en vaccin
diphtérique, tétanique et poliomyélitique (DT Polio) recommandé conformément
au calendrier vaccinal."
- Le InfanrixHexa® des laboratoires GSK, destiné aux nourrissons, contient
les valences contre la coqueluche, l’haemophilus et l’hépatite B. Ce vaccin
comporte au total 25 antigènes, plus de l’aluminium, du phénoxyéthanol et 2
antibiotiques. Sa variante InfanrixQuinta® ne contient pas l'hépatite B.
- Le Tetravac® de Sanofi Pasteur MSD ne contient que la coqueluche en plus
du DTP et serait donc le vaccin le moins "boosté" à l'heure actuelle. La
liste de ses excipients n'est toutefois pas pour rassurer: "Milieu de Hanks,
Acétique acide (E260), Sodium hydroxyde (E524), Formaldéhyde,
Phénoxyéthanol, Eau pour préparations injectables, adsorbé sur : Aluminium
hydroxyde, Résidus du procédé de fabrication : Streptomycine, Néomycine,
Polymyxine B, Glutaraldéhyde" selon la fiche Doctissimo.
Il est également précisé, concernant les "Précautions d'emploi": "La
vaccination doit être précédée d'une recherche des antécédents médicaux
(notamment pour les vaccinations antérieures et les événements indésirables
ayant pu survenir) et d'un examen clinique. Si la survenue de l'un des
événements suivants est chronologiquement liée à l'administration du vaccin,
la décision d'administrer d'autres doses de vaccin contenant une valence
coquelucheuse doit être soigneusement évaluée :
Fièvre ≥40°C dans les 48 heures, sans autre cause identifiable.
Collapsus ou état évoquant un état de choc avec épisode d'hypotonie -
hyporéactivité dans les 48 heures suivant la vaccination.
Cris persistants, inconsolables pendant une durée ≥3 heures, survenant dans
les 48 heures après la vaccination.
Convulsions avec ou sans fièvre, survenant dans les 3 jours après la
vaccination."
- Le nouveau vaccin Hexaxim®, de Sanofi Pasteur MSD contient les valences
contre la coqueluche, l'haemophilus influenza de type b et l'hépatite B. "Il
est la copie quasi conforme de l'Hexavac® retiré du marché en 2005 après
avoir causé la mort de plusieurs enfants en Allemagne (où près de 7 millions
de doses avaient été administrées, alors qu'en France il n'en avait été
distribué que 125 000, ce qui expliquerait qu'il n'y ait eu aucun décès
déclaré dans notre pays... à moins que la pharmacovigilance y ait été moins
efficace ?)" selon le site de la Ligue Nationale pour la Liberté des
Vaccinations basée à Annecy.
"L'Hexavac® était également présenté en seringue pré-remplie ; le fait que
l'Hexaxim® soit préalablement dilué, présenté comme un progrès important,
n'en est donc pas un, les anatoxines diphtérique et tétanique y sont
toujours adsorbées sur hydroxyde d'aluminium hydraté, les résidus de
fabrication (glutaraldéhyde, formaldéhyde, néomycine et autres
antibiotiques) sont exactement les mêmes, le virus de l'hépatite B est
toujours cultivé sur cellules de levure génétiquement modifiée, même si la
souche utilisée a changé (Hansenula polymorpha, levure de cidre, au lieu de
Saccharomyces cerevisiae, levure de bière), etc." continue le site
d'information.
Tous ces vaccins ne sont pas obligatoires puisque contenant des valences
autres que le DTP. Pourquoi faire courir un risque inutile à vos enfants ?
Ils ne sont en outre pas couverts par l'Office National d'Indemnisation des
Accidents Médicaux (ONIAM) puisque contenant des valences non obligatoires.
Pourquoi faire courir un risque inutile à votre famille ?
Et d'ailleurs pourquoi le DTPolio® n'est-il plus disponible ? Officiellement
et alors qu'il était utilisé depuis de nombreuses années, il est presque du
jour au lendemain devenu très dangereux au point d'être rappelé en urgence
de toutes les officines en 2008 (après une première indisponibilité en 2004
ou 2005 selon les labos). Qu'un vaccin dont on nous serinait jusque là la
sureté deviennent subitement aussi nuisible n'est pas pour rassurer quant
aux autres vaccins du marché... Curieusement, le prix du DTPolio® était de
moins 7 euros, intégralement pris en charge par la Sécu, alors que les
vaccins de remplacement (sauf le Revaxis qui est un vaccin de rappel) sont
toujours bien supérieurs... Le Tetravac® est le moins cher et coûte 15
euros, pris en charge à 65% par la Sécu. InfanrixHexa® coûte 40 euros et
InfanrixQuinta® 27 euros, toujours pris en charge à 65% par la Sécu (et donc
par les contribuables)! Cela n'a évidemment rien à voir mais il serait tout
de même intéressant de calculer le gain financier des labos via cette très
malencontreuse affaire...
© Dessin Bickel, www.bickel.fr
Nos différents courriers depuis septembre 2012
Contexte: Notre fils vient d'être exclu de la crèche, en dépit d'une
contre-indication de son médecin traitant. Le Dr X, médecin de la crèche, me
propose par téléphone et sans consultation de lui faire une injection de
Revaxis®, me le présentant comme étant « plus doux ». Je lui fais confiance
et fixe un rendez-vous pour le surlendemain. Le soir, je vais néanmoins
faire une recherche sur internet. Ce que je découvre me laisse pantois...
Je décide donc d'écrire à la crèche:
Madame la Directrice,
Vous nous avez en date du 4 septembre 2012 demandé de retirer notre fils
[masqué] de la crèche [masqué] au motif qu’il n’était pas vacciné (DTPolio).
Cette décision nous apparaît à la fois injustifiée et abusive. Je vous
remercie d’avoir pris le temps de m’appeler pour en discuter mais tiens à
clarifier nos différents arguments comme suit :
1. Les articles L 3111-1 à L 3111-3 du Code de la Santé Publique prévoient
bien une obligation de vaccination antidiphtérique, antitétanique et
antipoliomyélitique avant l’âge de 18 mois pour tout enfant. Néanmoins, il
est précisé que ces vaccinations obligatoires sont à effectuer « dans les
trois mois de l’admission de l’enfant » c'est-à-dire que les parents
disposent d’un délai de 3 mois à compter de l’avis écrit de demande de
vaccination (articles R 3111-8, R 3111-12 et R 3111-14 du Code de la Santé
Publique).
Suite à votre courrier officiel, nous disposerons d’un délai de trois mois
pour effectuer ces vaccinations ou nous organiser en conséquence Dans
l’intervalle, [notre fils] devrait continuer à pouvoir fréquenter la crèche.
2. L’Article R3111-17 stipule que « L'admission dans tout établissement
d'enfants, à caractère sanitaire ou scolaire, est subordonnée à la
présentation soit du carnet de santé, soit des documents en tenant lieu
attestant de la situation de l'enfant au regard des vaccinations
obligatoires. »
Or [notre fils] dispose d’un certificat médical de contre-indications du
Docteur [masqué] à [masqué], au regard des antécédents familiaux de réaction
aux vaccins de sa sœur aînée ainsi que du développement d’un eczéma sur son
crâne. Il apparaît ainsi curieux que le Docteur en charge de votre structure
puisse, sans aucun examen préalable de [notre fils], passer outre et
demander une vaccination.
3. En cas de vaccination, votre responsabilité pénale ainsi que celle du
Docteur prescripteur serait engagée. En effet « L’endos de la responsabilité
civile et pénale des effets indésirables dus aux vaccinations s’impose à
toute personne exigeant ou pratiquant un vaccin comportant en plus du DTP
(seule vaccination obligatoire), une ou plusieurs valences supplémentaires
(coqueluche,ou/et haemophilus influenzae b ou/et hépatite B), ou des rappels
non obligatoires, ce qui entraîne de facto l’impossibilité d’utiliser la
procédure simplifiée induite par l’article L 3111-9 du code de Santé
Publique. Sont dans la même situation ceux qui proposent d'utiliser le
vaccin Revaxis®, qui n’a pas d’AMM pour les enfants en dessous de 6 ans ou
en primo vaccination. Sont également dans cette situation ceux qui proposent
d'offrir gratuitement le DT Vax, ce dernier n’étant plus commercialisé en
France et ne correspondant pas à la recommandation de l’AFSSAPS, pour les
vaccins pédiatriques, car il contient du Thiomersal. »
4. Depuis le 12 juin 2008, le DTPolio® a été victime d’une « suspension
temporaire de distribution » avec retrait de tous les lots existants. Ce
vaccin n'est toujours pas revenu sur le marché alors qu’il est le seul
vaccin anti Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite disposant d'une AMM pour les
enfants de moins de six ans. Renseignements pris en pharmacie, ce vaccin
n’est plus non plus disponible en Suisse. De fait, l'obligation de
vaccination contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite n’est
légalement plus possible et devrait être suspendue pendant la période
d'indisponibilité du vaccin DTP.
5. Le Dr [masqué] a prescrit par téléphone pour [notre fils], sans aucun
examen et alors qu’elle était au courant des antécédents familiaux, le
vaccin Revaxis®, qu’elle m’a présenté comme étant plus "doux". Or, selon le
site de l’Académie de Médecine
(http://www.academie-medecine.fr/sites_thematiques/vaccination/page2004.html)
le vaccin Revaxis® est « réservé aux personnes de plus de 18 ans (AMM) »
L’AMM a ensuite été abaissée mais il reste inadapté pour les enfants en
dessous de 6 ans et en primo vaccination.
6. Outre son inefficacité en primo-vaccination, le vaccin Revaxis® apparaît
beaucoup plus dangereux que le vaccin DTP retiré du marché. Il comporte en
effet un taux de 350µg d'aluminium, que le receveur pèse 100 kg ou 5 kg !
Liste des excipients selon le fabricant : Acide acétique, Acides aminés,
Aluminium hydroxyde, Eau ppi, Formaldéhyde, Milieu 199 hanks,
Phénoxyéthanol, Sels minéraux, Sodium hydroxyde, Vitamines.
Rappelons que le formaldéhyde a été classé par le Centre international de
recherche sur le cancer (CIRC), en 2004 comme cancérigène certain (groupe 1)
ou encore que l’aluminium ou le Phénoxyéthanol peuvent induire des effets
neurotoxiques et des troubles neurologiques.
Les « Précautions » du fabricant ne sont pas pour rassurer: « Comme pour
tous les vaccins, des cas exceptionnels de réactions allergiques graves ont
été constatés ; ce risque justifie la nécessité de réaliser la vaccination
en milieu médical où un traitement d'urgence pourra être entrepris sans
délai. Pour limiter le risque de réaction allergique, il est recommandé,
chez l'adulte, de respecter un intervalle d'au moins 5 ans entre deux
injections de vaccins contenant des anatoxines diphtériques ou tétaniques.
De la néomycine, de la streptomycine et de la polymyxine B sont utilisées
pour fabriquer ce vaccin. Ces substances persistent en infime quantité dans
la solution injectable. Des précautions sont nécessaires chez les personnes
qui y sont allergiques. »
Et voici la liste des effets indésirables, toujours selon le fabricant :
- Les effets indésirables sont classés en terme de fréquence selon la
convention suivante :
Très fréquent > = 10%. Fréquent > = 1% et < 10%. Peu fréquent > = 0,1% et <
1%. Rare > = 0,01% et < 0,1%. Très rare < 0,01% y compris les cas isolés.
EXPERIENCE ACQUISE AU COURS DES ESSAIS CLINIQUES :
Lors des études cliniques, les événements les plus courants survenant après
administration du vaccin sont les réactions locales au point d'injection
(douleur, érythème, induration et oedème) qui sont rapportées chez 65% à 80%
des sujets dans chaque essai. Ces réactions commencent généralement dans les
48 heures suivant l'injection et persistent 1 à 2 jours : elles sont parfois
accompagnées de nodules au point d'injection.
- Affections hématologiques et du système lymphatique :
Peu fréquent : lymphadénopathies.
- Affections de l'oreille et du labyrinthe :
Fréquent : vertiges.
- Affections gastro-intestinales :
Fréquent : nausées, vomissements.
- Troubles généraux et anomalies au site d'administration :
. Très fréquent : réactions locales (douleur, érythème, induration, oedème
et nodule au point d'injection).
. Fréquent : hyperthermie.
. Peu fréquent : malaise.
- Affections musculosquelettiques et systémiques :
. Peu fréquent : myalgies.
. Rare : arthralgies.
- Affections du système nerveux :
Fréquent : céphalées.
EXPERIENCE ACQUISE APRES COMMERCIALISATION :
Basés sur les données des déclarations spontanées, les événements suivants
ont également été rapportés après la mise sur le marché.
Ces événements ont été très rarement rapportés, cependant l'incidence exacte
ne peut être précisément calculée
- Affections cardiaques :
Hypotension.
- Troubles généraux et anomalies au site d'administration :
Abcès amicrobiens.
Asthénie survenant et disparaissant habituellement en quelques jours.
Symptômes pseudogrippaux survenant le plus souvent le jour de la
vaccination.
- Affections du système immunitaire :
Réactions d'hypersensibilité immédiate : urticaire, oedème de Quincke et
choc anaphylactique.
- Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
Prurit, rash.
EVENEMENTS INDESIRABLES POTENTIELS :
- Des troubles neurologiques consécutifs à une vaccination contre la
diphtérie et/ou le tétanos sont extrêmement rarement rapportés.
- Comme pour le vaccin tétanique adsorbé, l'incidence et la gravité des
réactions locales peuvent être influencées par le choix du site, de la voie
d'injection et par le nombre des injections précédentes.
- Les réactions systémiques sont principalement observées chez les patients
hyperimmunisés, particulièrement par les rappels diphtériques et tétaniques
trop fréquents. »
En conclusion, les conditions légales et sanitaires ne sont pas être
remplies pour que nous devions faire vacciner [notre fils], en témoigne la
nouvelle attestation de notre médecin traitant [masqué] (copie jointe).
Nous espérons que vous serez réceptive à ces différents arguments et que
[notre fils] pourra continuer à bénéficier de vos structures et formidable
accueil. Dans tous les cas, nous vous remercions de bien vouloir justifier
votre position par écrit dans les plus brefs délais.
Je reste à votre disposition pour tous renseignements complémentaires et
vous prie de croire, Madame la Directrice en l’assurance de mes salutations
respectueuses,
Signé
© Dessin Bickel, www.bickel.fr
J'envoie également un courrier similaire au Dr. X. Nous ne reproduisons
ci-dessous que les parties différentes:
Docteur,
L’objet de cette lettre est de vous préciser les circonstances de
l’annulation de notre RV du 6/9 à 10h45 avec le Docteur [masqué].
Contrairement à ce que vous m’avez dit au téléphone, le vaccin Revaxis®
prescrit pour [notre fils] n’est en aucun cas plus doux que le vaccin
original ou ses alternatives puisqu’il comporte notamment un taux de 350µg
d'aluminium.
La liste des excipients fait apparaître un cancérigène certain
(formaldéhyde) et deux neurotoxiques (Aluminium hydroxyde et
Phénoxyéthanol).
Les « Précautions » du fabricant ne sont pas pour rassurer [identique lettre
Crèche]
Est-ce vraiment un tel vaccin, inefficace et dangereux que vous souhaitez
prescrire à notre fils de 7 mois, alors que vous avez été informée par mon
épouse (et par moi) des très graves effets secondaires survenues suite à la
vaccination de [notre fille] et que [notre fils] dispose en outre d’un
certificat de contre-indication du Dr [masqué] ?
En tout état de cause, votre responsabilité pénale serait alors engagée.
[identique lettre Crèche]
Depuis le 12 juin 2008, le DTPolio® a été victime d’une « suspension
temporaire de distribution » avec retrait de tous les lots existants. Ce
vaccin n'est toujours pas revenu sur le marché alors qu’il est le seul
vaccin anti Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite disposant d'une AMM pour les
enfants de moins de six ans. Renseignements pris en pharmacie, ce vaccin
n’est plus non plus disponible en Suisse. De fait, l'obligation de
vaccination contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite n’est
légalement plus possible et devrait être suspendue pendant la période
d'indisponibilité du vaccin DTP.
En conclusion, les conditions légales et sanitaires ne sont pas être
remplies pour que nous devions faire vacciner [notre fils], en témoigne la
nouvelle attestation de notre médecin traitant [masqué] (copie jointe).
Nous espérons que vous serez réceptive à ces différents arguments et que
[notre fils] pourra continuer à bénéficier de la chance et du plaisir de
pouvoir fréquenter la crèche.
Dans tous les cas, nous vous remercions de bien vouloir justifier votre
position par écrit.
Je reste à votre disposition pour tous renseignements complémentaires et
vous prie de croire, Docteur, en l’assurance de mes salutations
respectueuses,
Signé
Art. 36 du Code de Déontologie Médicale:
« Tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes
».
Arrêts de la Cour, du 25-02 et 14-10 1997 : Information des Patients.
« Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu’ils ont fourni au
patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins
sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques les
plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser
la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux
bénéfices escomptés ».
Loi du 04 mars 2 002, n° 2 002-303, Art. 11, Chapitre 1er, modifiant l’Art.
L 1 111-4 du Chapitre 1er du Titre 1er du Livre 1er de la Première Partie du
Code de la Santé Publique :
« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le
consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être
retiré à tout moment » .
© Dessin Bickel, www.bickel.fr
Suite à ces courriers ainsi qu’à un mot de notre médecin traitant concernant
l’indisponibilité du DTPolio®, le Dr X - qui n'a pas daigné répondre à nos
questions - démissionne de la crèche tandis que notre fils est réintégré.
Nous pensions ainsi que nos arguments avaient porté et que cette question
vaccinale était réglée.
Mais, en mai 2013, la crèche joint un courrier spécifique au dossier de
réinscription. La vaccination obligatoire est exigée sous peine de non
réinscription. Cliquez sur la lettre ci-dessous pour l'agrandir:
Je reprends donc ma plume (ou plutôt mon clavier):
Madame la Présidente,
J'espère que vous vous portez aussi bien que le temps le permet.
Concernant votre courrier « Vaccination DTP » joint à votre formulaire
d'inscription (doc joint), nous aimerions vous préciser les
données suivantes, sans entrer dans un vain débat "pour ou contre":
1. Le seul vaccin obligatoire (DTP) n'existe plus. La phrase de votre
règlement intérieur n’est donc plus adaptée et son existence même vous
place, me semble-t-il, en situation précaire vis-à-vis de possibles
poursuites judiciaires : soit pour discrimination abusive si des parents
étaient amenés à penser que leur enfant était rejeté pour une chose qu’il ne
peuvent tout simplement pas faire, soit, dans l’hypothèse d’un accident
vaccinal, pour mise en danger de la vie d’autrui. L’Etat en effet ne vous
couvrirait pas puisque le vaccin que vous auriez imposé contient des
valences non obligatoires (et dangereuses) !
2. L’Article R3111-17 du Code de la Santé publique stipule que « L'admission
dans tout établissement d'enfants, à caractère sanitaire ou scolaire, est
subordonnée à la présentation soit du carnet de santé, soit des documents en
tenant lieu attestant de la situation de l'enfant au regard des vaccinations
obligatoires. »
3. Michaël sera donc au bénéfice, tout comme l'année dernière, d'un mot de
son médecin traitant suspendant la vaccination tant que celle-ci n'est
pas disponible.
4. Aucune administration ne peut s'opposer à cet avis médical de bon sens
sans être en infraction vis-à-vis de la loi (un avocat vient d'ailleurs de
sortir un livre sur le sujet: Vaccins - On nous aurait menti ? L'avis d'un
avocat). De fait, la PMI (ou la CAF ?) n'a rien trouvé à redire l'année
dernière. Votre association sera ainsi tranquille vis-à-vis des autorités.
5. Nous trouverions pour le moins curieux que vous soyez "plus royaliste que
le roi" et imposiez des vaccins que les administrations elles-mêmes n’osent
plus demander et qui ne disposent parfois même pas d’AMM (Autorisation de
Mise sur le Marché) pour les nourrissons ! Vu le temps consacré à ce sujet
l’année passée (voir mon courrier de septembre) et les tracasseries subies
par [notre fils], votre courrier spécifique est déjà pour le moins
surprenant.
Quoi qu’il en soit, nous avons toute confiance dans votre bon sens et dans
le fait que vous aurez à cœur de consacrer votre temps au bien-être des
enfants plutôt que dans un combat dogmatique où les intérêts économiques
priment largement sur les aspects sanitaires.
N’ayant pas de solution satisfaisante de replis, nous espérons également que
[notre fils] pourra continuer à bénéficier de vos formidables structures
d'accueils et de ses camarades de jeux et j’en profite pour vous remercier,
vous et votre équipe, pour votre dévouement et efforts du quotidien.
Je reste évidemment à votre disposition pour tous renseignements
complémentaires.
Je prie de croire, Madame la Présidente, en l’assurance de mes salutations
respectueuses,
Signé
Je reçois en retour la lettre recommandée ci-dessous. Même punition: cliquez
pour l'agrandir
Détail intéressant et révélateur: la question de l'indisponibilité du DTP
est complètement éludée! La crèche se contente de répéter le texte de son
règlement et en profite pour nous attaquer sur un autre sujet: la soi disant
inefficacité de nos remèdes naturels pour faire baisser la fièvre et le fait
de ne pas être immédiatement venu chercher notre fils... Seul point positif:
l'offre de médiation, que nous fixons au 20 juin. Le délai étant important,
nous décidons d'ores et déjà de répondre:
[masqué], le 8 juin 2013
Madame la Présidente,
Dans l’attente de notre rendez-vous du 20 juin, j’accuse bonne réception de
votre courrier du 30 mai 2013 et souhaiterais d’ores et déjà y apporter les
commentaires suivants :
1. Notre intention n’est pas « de ne pas vacciner [notre fils] contre la
Diphtérie, Ténanos, Polio » mais de ne le vacciner que lorsqu’un vaccin sera
de nouveau disponible, comme l’attestera son certificat médical, ce qui
n’est pas du tout la même chose !
2. Vous éludez complètement cette question de la non-disponibilité du vaccin
obligatoire : comment faire vacciner un enfant en DTP si le vaccin n’existe
plus ?
3. Question liée : êtes-vous prêt à nous signer un document prenant toute la
responsabilité d’un accident vaccinal lié à un vaccin comprenant d’autres
valences que les trois obligatoires ? En soi, vous n’avez rien à nous signer
puisque votre responsabilité pénale, ainsi que de toute personne obligeant à
vacciner hors DTP, serait automatiquement engagée.
4. Vous rappelez que vous n’êtes pas une administration mais une association
loi 1901 de droit privé. Mesurez-vous bien le risque pour une telle
structure d’obliger des parents à vacciner hors vaccins obligatoires ?
Apparemment pas.
5. Vous prenez en argument votre règlement intérieur mais celui-ci n’est
plus applicable en l’état sauf à faire courir de graves risques aux enfants.
Veuillez vous référer à mon courrier de septembre 2012 pour la liste des
effets secondaires du Revaxis que le Dr [masqué] voulait administrer à
[notre fils] , en dépit d’une AMM uniquement pour les plus de 6 ans. Est-ce
vraiment le rôle d’une association telle que la votre de faire courir de
tels risques à des nourrissons ?
6. Je vous remercie de préciser qu’il n’y a « aucune obligation d’accueil en
collectivité de l’enfant de moins de 6 ans ». C’est justement, j’imagine,
l’une des raisons pour laquelle votre association a été créée : pour palier
à un manque, sachant que les pressions financières obligent quasiment
toujours les deux parents à travailler de nos jours. Refuser une place à un
enfant entraîne toujours de lourdes conséquences.
7. Là encore, votre non-statut d’administration vous place à risque
vis-à-vis de parents qui estimeraient avoir été pénalisés. Comment définir
légalement le fait d’imposer une vaccination qui n’existe pas sous menace
d’exclusion ?
8. Vous nous reprochez « le refus de venir chercher notre fils, lorsqu’il
présente une forte fièvre que le protocole de soins ne permet pas à l’équipe
de traiter ». Vous voudrez bien dès lors nous préciser 1. Quand notre
protocole s’est révélé inefficace (augmentation de la fièvre). 2. A quelles
dates précisément nous ne sommes pas venus le chercher.
9. Vos accusations sont d’autant plus déplacées que nous avons été jusqu’à
faire faire à [notre fils] une analyse sanguine parce que votre personnel
craignait pour un possible cas de Rubéole et alors que nous avions annoncé
une intoxication alimentaire dans la famille présentant les mêmes symptômes.
Madame [masqué] a reconnu par la suite avoir été excessive dans ses craintes
et ses demandes. Résultats : deux jours durant lesquels [notre fils] n’a pas
pu être en crèche mais qui nous ont quand même été facturés – toujours
conformément à votre règlement – et une centaine d’euros de frais médicaux.
10. Globalement je m’étonne que vos responsables soient aussi peu formés aux
pathologies infantiles et aux moyens de les prévenir (ou traiter), aussi
craintifs à la moindre incidence, aussi tournés vers l’allopathie (en dépit
du fait que plusieurs de vos assistantes soient en faveur des thérapies
naturelles). Vous avez ainsi mis en garde les parents contre les risques
liés aux colliers d’ambre (sic) par voie d’affichage mais quid, par exemple,
des risques liés au paracétamol de votre protocole "classique" contre la
fièvre ? Voir annexe.
11. Vous avez mis votre courrier en copie de multiples personnes, sans avoir
pris la peine d’y joindre notre courrier original. Il va donc nous falloir
clarifier la situation auprès de ces mêmes personnes, ce qui leur permettra
1. De découvrir une partie des absurdités du business vaccinal (sans parler
de ses risques). 2. De pointer du doigt certains aspects pour le moins
curieux de votre règlement. 3. De constater à quel point vous avez déformé
nos propos. Vous voudrez bien à cet égard me communiquer les adresses de ces
personnes afin que nous puissions exercer notre « droit de réponse » ou bien
alors leur transmettre ce courrier.
12. Tout ceci étant précisé, je réitère à quel point nous sommes ravis de
l’accueil de [notre fils] au sein de vos structures et à quel point il nous
apparaît important de le sociabiliser via le contact avec de multiples
autres enfants. La crèche, de ce point de vue, ne devrait pas être un choix
mais un droit ! Qui dit droit dit certainement devoir mais le premier devoir
de parents responsables n’est-il pas de préserver l’intégrité physique de
ses enfants ? Toute personne un minimum informé des mensonges liés aux
vaccinations ne pourrait que s’opposer à toute vaccination non obligatoire,
ce que nous faisons et ce que, en toute logique, vous devriez soutenir.
Dans l’attente de notre rendez-vous, je reste évidemment à votre disposition
pour tous renseignements complémentaires.
Je prie de croire, Madame la Présidente, en l’assurance de mes salutations
respectueuses,
Signé
PJ : Article sur la fièvre et le paracétamol
Art. 36 du Code de Déontologie Médicale:
« Tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes
».
Arrêts de la Cour, du 25-02 et 14-10 1997 : Information des Patients.
« Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu’ils ont fourni au
patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins
sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques les
plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser
la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux
bénéfices escomptés ».
Loi du 04 mars 2 002, n° 2 002-303, Art. 11, Chapitre 1er, modifiant l’Art.
L 1 111-4 du Chapitre 1er du Titre 1er du Livre 1er de la Première Partie du
Code de la Santé Publique :
« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le
consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être
retiré à tout moment » .
Copie à Monsieur [le
Maire]
© Dessin Bickel, www.bickel.fr
Constatant que leur courrier est mis en copie à plusieurs personnes dont le
Maire de notre commune, nous nous sentons obligés de lui clarifier le débat:
[masqué], le 8 juin 2013
Monsieur le Maire,
Vous avez été mis en copie d’un courrier de la crèche [masqué] du 30 mai
2013 qui nous était adressé.
Ce courrier laisse à penser que nous nous opposons à la vaccination DTP, que
nos traitements alternatifs contre la fièvre ne sont pas efficaces ou encore
que nous ne sommes pas venus chercher [notre fils] lorsqu’on nous le
demandait.
La réalité est un peu plus subtile que cela.
Sans entrer dans les détails, veuillez trouver ci-joints mes courriers
adressés à la crèche qui résument notre situation :
- Courrier de septembre 2012. Suite à ce courrier, [notre fils] a été
réintégré, la PMI ne trouvant rien à redire à nos arguments. Le Dr [masqué]
(à qui j’avais adressé plus ou moins le même courrier) a démissionné de ses
fonctions au sein de la crèche.
- Courrier de mai 2013. Avec le formulaire de réinscription figurait en
effet une demande expresse de vaccination, alors que le vaccin obligatoire
n’existe toujours pas !
Vous noterez ainsi que la réponse de [masqué] dont vous avez été mis en
copie élude complètement la question de la non-disponibilité du vaccin
obligatoire : comment faire vacciner un enfant en DTP si le vaccin n’existe
plus ?
- Courrier du 8 juin 2013
Je rencontrerai les dirigeants de la crèche le jeudi 20 juin mais tenais dès
maintenant à vous informer d’une situation passablement bancale sur le plan
judiciaire, étant évident qu’une application stricte du règlement intérieur
de la crèche n’est selon nous conforme, ni avec le bon sens, ni avec le
principe de précaution.
Je reste évidemment à votre disposition pour tous renseignements
complémentaires et vous prie de croire, Monsieur le Maire, en l'assurance de
mes salutations respectueuses.
Signé
© Dessin Bickel, www.bickel.fr
La réunion de "médiation" a donc lieu le 20 juin 2013 mais elle ne se passe
pas comme prévu. Je fais face à trois personnes qui ont déjà décidé de notre
sort. Compte-rendu dans notre dernier courrier où, après avoir vainement
discuté de l'aspect illégal de la demande de vaccination, nous tentons
d'aborder l'aspect moral...
[masqué], le 25 juin 2013
Madame la Présidente,
Je vous remercie de l’entretien du jeudi 20 juin, qui m’a néanmoins surpris
par ses conclusions prises avant même qu’il ne démarre et annoncées en
préambule. Ce n’est pas ma compréhension d’une "médiation" (« entremise
destinée à amener un accord »). Cela ressemblait de fait plutôt à un
tribunal.
J’ai bien noté ainsi votre tentation à faire dévier la question de base vers
des accusations plus ou moins gratuites : mes appels « tous les mois » (sic)
pour clarifier les factures, le fait de ne pas être venu cherché [notre
fils] le 11 janvier ou mon soi disant « mensonge » à l’inscription alors que
nos deux aînés sont vaccinés et que j’ignorais alors que le DTP n’était pas
disponible ou que [notre fils] bénéficierait d’une contre-indication de son
médecin traitant.
J’ai bien compris au passage que vous étiez réfractaire à toute remarque,
comme si votre association pouvait être parfaite et ne devait être
questionnée. De fait, même vos assistantes n’osent rien dire (tout en n’en
pensant pas moins), l’administration et les procédures ayant apparemment
pris le pas sur le bon sens et les puéricultrices dûment formées. La peur
permet de préserver bien des apparences… Fin de la parenthèse.
Sur le sujet de la vaccination, j’ai globalement été étonné par votre
propension à tout ramener à votre règlement alors qu’il s’agit d’une
question de bon sens (le vaccin exigé n’existe pas) et de santé publique
(les vaccins de remplacement sont inefficaces et dangereux).
J’ai été surpris lorsque vous m’avez annoncé que tous les membres de votre
comité avaient entériné la décision de suivre stricto sensu un règlement
inapplicable en l’état mais il est clair que toute l’information ne leur a
pas été communiquée – quel parent accepterait de faire courir un risque
inutile à son enfant ? – et que des responsables d’une association ne sont
pas les mieux placés pour critiquer leur association.
Votre décision de demander la réintroduction du DTP auprès des députés
démontre d’ailleurs votre reconnaissance implicite de l’absurdité de votre
règlement. Pourquoi sinon redemander ce vaccin ? Uniquement pour vous
couvrir quant au risque vaccinal de valences non obligatoires, éviter à
l’avenir tout questionnement sur le sujet ou bien quand même – je vous le
souhaite – parce que la santé des enfants vous préoccupe ?
Vous avez récusé le terme mais nous restons sur l’impression d’un chantage
immonde : soit nous faisons courir un risque sanitaire à [notre fils] via un
vaccin légalement non-obligatoire – et j’ai bien noté que vous rejetteriez
alors la responsabilité sur le médecin qui aurait fait l’injection, ce qui
est fort courageux de votre part -, soit nous devons opter pour un autre
mode de garde. Vous devriez avoir honte et vos procédures administratives
ont décidément bon dos ! « Ce n’est pas moi, c’est le règlement ! »
Mais quelle est donc cette société où des bénévoles d’une association
préfèrent jouer aux petits soldats plutôt que de dénoncer un scandale
sanitaire ? Auriez-vous des parts chez Sanofi-Pasteur, un intérêt quelconque
à affaiblir le système immunitaire des enfants ? « Il est difficile pour un
homme de comprendre une chose si son salaire dépend de ce qu'il ne la
comprenne pas » disait Upton Sinclair mais vous êtes bénévole et ce n’est
pas là la moindre de vos qualités. Moins d’enfants en crèche signifie sans
doute moins de tracas (et tout autant de paiements grâce à votre règlement)
mais je n’imagine pas que vous puissiez pousser le cynisme aussi loin, le
système s’en chargeant très bien tout seul !
Serait-ce donc plutôt une stratégie d’auto-défense du genre : « J’ai vacciné
mes enfants sans savoir les dangers que je leur faisais courir donc je ne
veux rien savoir des vaccins et tant pis pour les autres » ? Une vingtaine
de livres dénoncent les mensonges des pouvoirs publics et la dangerosité des
vaccins et aucun n’a été condamné… Jusqu’à quand peut-on en conscience
continuer à se voiler la face ?
Votre soi disant « respect » pour nos opinions est en réalité de
l’intolérance à partir du moment où il est surtout prétexte à clore la
discussion. « Nous respectons votre opinion mais taisez-vous, je ne veux
rien savoir ! » Pourquoi avoir aussi peur de la vérité ? Parce qu’elle
responsabilise ?
Est-il normal de condamner les enfants à développer un terrain oxydant et
alcalin, le terrain des virus et des cancers, – ce qu’induisent toujours
les vaccins –, à affaiblir leurs défenses immunitaires, à augmenter leur
risque d’allergies ou pire encore (voir Annexe) simplement à cause… d’un
règlement !?!
Votre responsabilité pénale ne sera peut-être pas engagée vu le dogmatisme
des administrations mais votre responsabilité morale est d’ores et déjà
entière à partir du moment où vous savez (ou refusez de savoir). Vous avez
été informé dès septembre 2012 des effets secondaires et de l’inefficacité
du vaccin proposé par le Dr. [masqué] (sans aucun examen préalable de [notre
fils]) et vous ne faites rien. Pire encore puisque vous obligez
implicitement les parents – via votre règlement – à faire vacciner des
enfants avec des valences inutiles et dangereuses, via des vaccins ayant
parfois des AMM ne correspondant même pas à l’âge des enfants ! Vous avez
pourtant autrement plus de chance de voir un enfant développer une
pathologie (combien de morts subites du nourrisson tous les ans en France ?)
suite à une telle vaccination que de voir un enfant s’étrangler avec un
collier d’ambre. Votre règlement vous permettra-t-il alors de bien dormir ?
L’absurdité de ce vaccin obligatoire non disponible vous donne l’opportunité
unique de rattraper les erreurs passées – rien ne peut éthiquement vous être
reproché tant que vous ne saviez pas et nous sommes tous ignorants avant de
savoir quelque chose – et, surtout, de préserver votre honneur, entaché à
chaque nouvelle vaccination « pour entrer en crèche, conformément à leur
règlement ». Vous aimez jouer à la roulette russe ? Moi pas et d’autant
moins avec des enfants !
La fonction de Présidente consiste me semble-t-il moins dans l’application
stricte d’un règlement que dans la prise de décisions courageuses au nom de
l’éthique. Etes-vous bénévole par passion des procédures, recherche de
prestige personnel – ah, l’ivresse du pouvoir lorsque l’on dit « non ! » ou
clos une réunion en plein débat – ou bien parce que vous voulez faire une
différence et aider les enfants du mieux possible ? Si l’accueil des enfants
induit leur mise en danger, alors votre structure – à défaut de votre
règlement – devrait être dénoncée !
En l’occurrence, quel est donc l’intérêt des enfants ? Eux ne signent pas de
règlement et sont les premières victimes du business vaccinal. Seuls 5 pays
en Europe osent encore imposer des vaccinations. Tous les autres – dont la
Suisse et l’Allemagne – disposent quand même de crèches ! Lier la
vaccination avec les règles de la collectivité relève donc de la simple
manipulation et d’une tentative d’intimidation.
Pensez-vous également que tous les parents soient correctement informés ? «
Tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes »
dit le Code de Déontologie Médicale. Combien de parents savent ce qui est
réellement injecté à leurs enfants ?
Bref, comment préférez-vous in-fine être reconnue ? Comme une Présidente
irresponsable, arc-boutée sur un règlement inapplicable et dangereux ou
comme celle qui aura préservé la santé des enfants et l’intelligence des
parents ? Votre temps sera-t-il mieux consacré à défendre une clause perdue
ou une cause juste ?
Vous aurez compris je pense que je suis prêt à consacrer une partie de mon
temps à dénoncer le risque sanitaire que font courir ces vaccins sur les
nourrissons et que l’absurdité de votre règlement doublée à l’injustice
vis-à-vis de [notre fils] sont des voies royales pour aborder cette
question.
Nous vous demandons donc une dernière fois – pas tant pour la place en
crèche de [notre fils] que pour la préservation de la santé de l’ensemble
des enfants – de nous aider à faire la lumière sur ce scandale sanitaire. A
charge ensuite pour les parents de décider en âme et conscience s’ils
souhaitent aller au-delà du seul vaccin obligatoire. Alors vous aurez fait
correctement votre travail. Alors vous serez vraiment digne de votre
fonction et pourrez légitimement être fière de votre association.
Nous espérons votre réponse définitive d’ici une semaine.
Je prie de recevoir, Madame la Présidente, mes plus cordiales salutations,
Signé
Copie à Monsieur [Le Maire].
Copie à La Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations, Annecy
A noter qu'il n'y a pas 5 mais 4 pays qui obligent encore à vacciner et que
ce n'est pas une vingtaine mais
une cinquantaine de livres qui sont disponibles sur le marché.
Nous n'avons, à ce jour, reçu aucune réponse à ce courrier. Il m'avait
également été promis de m'adresser le compte rendu de l'Assemblée générale
de la crèche qui abordait cette question et demandait au député de notre
région de réintroduire le vaccin DTP, reconnaissance implicite de
l'absurdité du règlement exigeant un vaccin qui n'existe plus. J'attends
toujours ce compte-rendu...
Il était à la base prévu d'engager les actions suivantes, avec l'aide de la
Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations à Annecy:
1. Un site d'information sur ce scandale et les vaccins (vous y êtes!)
2. Une pétition
3. Une plainte contre la crèche qui n'a légalement pas le droit de refuser
un enfant bénéficiant d'une contre-indication.
Au final, ce site d'information sera notre seule action concrète pour le
moment. En effet:
La Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations à Annecy, n'a pas
souhaité utile de nous aider, préférant apparemment se concentrer sur ses
propres actions personnelles (le travers malheureusement de la plupart des
associations). Tant pis pour ce scandale bien concret pourtant susceptible
de faire bouger les choses... Pour de véritables actions, adressez-vous
apparemment plutôt à L'Union Nationale des Associations Citoyennes de Santé.
Surtout, une condamnation de l'Etat français prive la pétition d'une bonne
partie de sa substance. En effet "en septembre 2013, après dix-sept ans de
procédure, le Conseil d'Etat a confirmé la condamnation de l'Etat à
rembourser la Mutualité sociale agricole et les parents de la petite Inès
des frais occasionnés par son handicap. [...] Le fait important est résumé
en fin de l'arrêt qui rappelle que: "Dès lors qu'un vaccin comporte au moins
une valence correspondant à une vaccination obligatoire et qu'il n'est pas
démontré que les troubles seraient exclusivement imputables à l'une de ses
valences facultatives, le dommage entre dans le cadre [...] du Code de la
santé publique prévoyant que la réparation d'un dommage imputable
directement à une vaccination obligatoire est supportée par l'Etat."
(Source: Principes de Santé N°60, Octobre 2013)
En clair, il a fallu près de vingt ans de procédure (scandaleux!) mais
l'Etat est enfin placé devant ses responsabilités: si vous faites vacciner
votre enfant avec un vaccin contenant au moins une valence obligatoire, vous
serez normalement indemnisé des dommages subis. Le plus gros scandale
"politique" est ainsi terminé...
Il demeure le scandale sanitaire. La plupart des parents ignorent la
dangerosité des vaccins ou subissent les pressions des crèches mais ne leur
appartient-il pas de s'informer et de refuser les manipulations ?
L'information et les solutions alternatives existent, la preuve!
Ce que vous pouvez faire ?
« La démocratie est l'organisation sociale qui tend à porter au maximum la
conscience et la responsabilité civique de chacun.» disait Marc Sangnier.
Merci de nous aider, via ce scandale sanitaire, à essayer de rétablir une
démocratie digne de ce nom !
L'information est présente pour ceux qui la cherchent mais elle est le plus
souvent occultée par les médias et les discours officiels. De plus en plus
de voix s'élèvent pour dénoncer le scandale vaccinal mais ils sont le plus
souvent discrédités... au point que l'on pourrait comparer les adeptes des
vaccins à une secte. En effet:
La Secte Vaccinale et son Gourou Pasteur
Le dogme vaccinal n'admet pas de contestation.
Les bases scientifiques sont obsolètes au point que la croyance prime
désormais sur la raison.
La manipulation repose sur la peur et de fausses croyances.
Des vexations administratives sont mises en place (entrée en crèche,
colonies de vacances, scolarité,...)
Des menaces et des insultes sont proférées envers ceux qui osent
s'interroger.
Le Gourou est divinisé en dépit d'une biographie entachée d'escroqueries et
de meurtres (enfants tués par le vaccin innoculé).
Le business est extrêmement lucratif : 21 milliards d’euros en 2010!
Les enfants victimes sont affaiblis et deviennent tributaires de la médecine
allopathique.
Le mensonge et la désinformation règnent en maître...
Les plus touchés sont les plus naïfs et les moins bien éduqués.
Les adeptes sont minoritaires (4 pays seulement en Europe exigent encore une
vaccination)
« Le mal ne vient pas toujours de ceux qui le font,
mais de ceux qui le laissent faire »
(Albert Einstein)
Renseignez-vous, informez-vous, réfléchissez à qui a réellement avantage à
imposer les vaccins puis aidez-nous à diffuser l'information et à faire
évoluer les choses:
Refusez la vaccination tant que des valences non obligatoires (inutiles
et/ou dangereuses) sont incluses dans le vaccin proposé. La santé des
enfants prime sur leur inscription en crèche et, si de plus en plus de
parents se manifestent, si de plus en plus de citoyens sont informés, les
règlements seront modifiés!
Demandez à votre médecin des informations précises sur les adjuvants
utilisés et les effets secondaires. S'il ne sait pas ou ne veut pas savoir,
envisagez d'en changer!
Lisez au moins l'un des livres suivant pour avoir des données scientifiques
fiables et faire avancer le débat.
Si vous connaissez des journalistes ou des personnalités politiques ou
publiques, invitez-les au débat!
Nos enfants méritent notre protection. D'avance, merci!
© Dessin et texte Bickel, www.bickel.fr
Annexes à nos courriers:
Comment gérer la fièvre chez l'enfant
La fièvre de l'enfant est l'un des motifs les plus fréquents de consultation
en pédiatrie et une source d'angoisse pour beaucoup de parents. À tort,
selon les spécialistes qui estiment que ce symptôme - défini par une
température supérieure à 38° - est trop souvent traité par des médicaments.
Pour lutter contre «la phobie de la fièvre» et aider les médecins à éduquer
les familles, l'Académie américaine de pédiatrie vient de publier de
nouvelles recommandations.
«Plus que de maintenir une température normale, l'objectif principal est
d'aider l'enfant à se sentir plus confortable», souligne-t-elle en rappelant
que la fièvre est une réaction physiologique qui peut aider à lutter contre
une infection. En clair, les antipyrétiques ne sont pas systématiquement
nécessaires. Il est d'ailleurs inutile de réveiller un enfant pour lui en
administrer, écrit l'Académie américaine de pédiatrie. De fait, aucun de ces
médicaments n'a prouvé d'efficacité pour prévenir la principale complication
de la fièvre chez les moins de 5 ans, les convulsions fébriles.
Ces recommandations rejoignent celles en vigueur en France depuis 2005. « La
fièvre est un symptôme, l'essentiel est de comprendre son pourquoi, mais la
supprimer systématiquement est un mauvais principe», assure le Pr Alain
Chantepie, président de la Société française de pédiatrie. «On ne traite pas
une température, mais un enfant. La seule raison valable de faire baisser la
fièvre, c'est pour son confort», confirme le Pr Jean-Marc Treluyer, pédiatre
et pharmacologue à l'université Paris-Descartes. (Source :
sante.lefigaro.fr)
Et sur le Paracétamol largement utilisé à la moindre fièvre :
Le paracétamol représente la première cause d'hépatite potentiellement
mortelle en France.
Le paracétamol est toxique pour les reins et cette toxicité pourrait
s’exercer aux doses thérapeutiques en cas de prise prolongée, ce qui n’est
pas indiqué sur la notice !
Le paracétamol constitue un facteur de risque important pour le
développement de l'asthme. Les enfants à qui l'on a administré cet
antidouleur au cours de leur première année présentent un risque majoré de
46% de devenir asthmatiques cinq ans plus tard.
Ces chiffres sont tirés d'une étude internationale réalisée auprès de
205.000 enfants dans 31 pays, publiée dans le magazine spécialisé The
Lancet. Sous la direction du professeur Beasley du Medical Research
Institute en Nouvelle-Zélande, des chercheurs ont observé, outre le lien
avec l'asthme, un risque majoré de 48% de rhinite, une réaction
inflammatoire de la muqueuse nasale, et de 35% d'eczéma. Pour les bébés qui
avaient recu pendant un mois du paracétamol, le risque était même triplé par
rapport aux enfants qui n'avaient pas eu de paracétamol.
Le paracétamol accentuerait les allergies chez les bébés : c'est l'un des
résultats d'une étude menée par des chercheurs de l'UCL sur quelque 225
enfants qui ont aujourd'hui 5 ans et qui ont été suivis régulièrement depuis
leur naissance.
La pédiatre Françoise Smets, qui dirige cette étude, explique : "Il est
probable qu’au plus l’enfant prend du paracétamol au plus le risque
d’apparition d’une allergie augmente. C’est certain que cela renforce le
message de ne jamais utiliser ces médicaments quand ils ne sont pas vraiment
indispensables".
(Sources : Femininbio.com, e-sante.be et
rtbf.be)
Une parenthèse qui était jointe à l'un de nos courrier mais qui en dit long
sur la perception de la maladie
et du moindre symptôme dans la médecine allopathique... ainsi que de la peur
des convulsions
qui règne dans la majorité des crèches. Il n'y a évidemment pas que les
vaccins qui font des dégâts!
© Dessin Bickel, www.bickel.fr
ANNEXE : QUELQUES DONNEES SUR LES VACCINS (ET LES MANIPULATIONS)
Tirées du livre de Sylvie Simon, Vaccins, mensonges et propagandes
« Je n’admets pas qu’on discute désormais mes théories et ma méthode ; je
ne souffrirai pas qu’on vienne contrôler mes expériences. » (Pasteur - qui
n’était pas médecin - au Dr Navarre)
« Monsieur Pasteur ne guérit pas la rage, il la donne » (Pr Michel Peter,
membre de l’Académie de Médecine). De fait, Pasteur a entraîné la mort d’un
jeune garçon via sa vaccination.
« L’introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un
corps humain est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande
ignorance de la virologie et des processus d’infection […] Le mal qui est
fait est incalculable. » (Pr. R. DeLong, Virologue et immunologiste de
l’Université de Toledo, USA)
« Il n’existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses
fabricants savent bien qu’il ne sert à rien, mais ils continuent de le
vendre. […] L’immunisation des enfants fait plus de mal que de bien » (Dr J.
Anthony Morris, virologue et ancien chef de contrôle des vaccins pour la FDA
Américaine)
Les alternatives au DTPolio® introuvable ne correspondent pas au caractère
légal de l’obligation vaccinal en France :
Revaxis® que le Dr [masqué] m’a présenté comme « non dangereux » et voulait
inoculer à [notre fils] à l’âge de 7 mois peut, selon les termes de
l’AFSSAPS « être administré, à titre exceptionnel, aux enfants à partir de
l’âge de six ans en rappel d’une vaccination antérieure. » Inefficace en
primo vaccination, dangereux (voir mon courrier de sept 2012) et inapproprié
pour les nourrissons. Qui dit mieux ?
InfarixHexa®, destiné aux nourrissons, contient les valences contre la
coqueluche, l’haemophilus et l’hépatite B. Ce vaccin comporte au total 25
anti-gènes, plus de l’aluminium, du phénoxyéthanol et 2 antibiotiques. Le Dr
Le Houezec, pédiatre, s’attend donc à « de sérieux problèmes dans les mois
et années à venir chez les nourrissons et les jeunes enfants de notre
pays. » Le vaccin anticoquelucheux est reconnu par tous les spécialistes
comme le plus dangereux de tous les vaccins de routine administrés aux
enfants en raison des complications neurologiques qu’il induit.
Le tétanos ne menace aucun enfant né d’une mère en bonne santé, dans un pays
où l’hygiène n’est pas remise en cause. […] Environ 50% des malades
guérissent spontanément, ce qu’on nous cache soigneusement, et parmi les
quelques 26 cas de tétanos par an en France, la moyenne d’âge est de 78 ans.
« Puisqu’un malade guéri du tétanos n’est jamais immunisé contre une
seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il mieux protéger de la
maladie ? » (Pr. Jules Tissot)
Il existe « une sous notification très nette des effets indésirables des
vaccins » (Anne Castot de l’AFSSAPS)
« Les vaccinés, loin de constituer un barrage protecteur vis-à-vis des
non-vaccinés, sont au contraire dangereux et peuvent contaminer le reste de
la population, puisqu’il est prouvé qu’ils peuvent être porteurs et
transmetteurs de virus poliomyélitiques par voie intestinale, et peut-être
par d’autres voies. » (Dr Yves Couzigou)
« Par l’injection de substances toxiques dangereuses, l’acte vaccinal
affaiblit toujours l’organisme. Toute agression de la barrière cutanée
constitue un viol et met en branle le système immunitaire. […] Dans la
plupart des cas, les enfants vaccinés voient leur vitalité diminuer et leurs
réactions immunitaires s’émousser. » (Jacqueline Bousquet, biologiste et
immunologiste)
« Une vaccination, quelle qu’elle soit, est toujours, biologiquement et
immunitairement parlant, une offense pour l’organisme » (Pr R. Bastin)
« Les vaccinations en bas âge ne peuvent pas aider car elles ont des effets
dangereux sur le système immunitaire de l’enfant, laissant peut-être ce
système tellement atteint qu’il ne peut plus protéger l’enfant durant sa
vie, ouvrant la voie à d’autres maladies à cause d’une dysfonction
immunitaire. » (Drs John Criss Hoffmann et Horold Buttram)
Tous les vaccins sont susceptibles de provoquer un choc anaphylactique. Pour
La Revue du praticien : « Une surveillance pendant douze heures au moins en
milieu hospitalier est donc obligatoire car la mort peut survenir
rapidement. »
Louis-Claude Vincent (dont la bioélectronique est utilisée par la NASA pour
contrôler l’état de santé des cosmonautes) a démontré de façon
incontournable que par déplacement du terrain toute vaccination contre une
maladie microbienne prédispose aux maladies virales ou bactériennes et au
cancer.
« On prétend éradiquer des maladies alors que l’on en fait émerger de
nouvelles, celles-ci pires encore, en refusant – par méconnaissance des
mécanismes du vivant – de reconnaître les conséquences néfastes du
déplacement du terrain. » (Jacqueline Bousquet, biologiste et immunologiste
au CNRS)
L’Institut Robert Koch, la plus haute instance de santé allemande au service
du ministère fédéral de la Santé a mené une enquête statistique de mai 2003
à mai 2006 sur 17 461 enfants, récoltant 20 millions de données. La
vaccination n’est pas obligatoire en Allemagne. Résultats : les enfants non
vaccinés ont moitié moins d’allergies que les vaccinés (22,9% contre 10,6%),
nettement moins d’asthme ou de bronchite chronique (18% contre 2,4%),
d’herpès (12,8% contre 0,2%), de migraines (2,5% contre 1,1%), d’épilepsie
(3,6% contre 0,3%), d’hyperactivité (7,9% contre 2%) ou encore d’otite (11%
contre 2%).
Le marché mondial des vaccins dépasse les 21 milliards d’euros de chiffre
d’affaires en 2010 (contre 8,5 milliards en 2006) dont 25% du marché pour
Sanofi-Pasteur. En mars 2008, Sanofi-Pasteur diffusait en interne un
document mentionnant la nécessité de « neutraliser la grande presse »…
« La manipulation médiatique aux Etats-Unis est plus efficace qu’elle ne
l’était dans l’Allemagne nazie, car les gens croient qu’ils ont accès à
toute l’information. Cette mauvaise conception les empêche de rechercher la
vérité. » (Crispin Miller, professeur de journalisme à l’université de New
York)
Aux Etats-Unis, plus de mille milliards de dollars ont été payé depuis 1990
en dédommagement d’accidents vaccinaux. Sur chaque vaccin, 75 cents sont
prélevés pour le Programme de Compensation des accidents mis en place par le
Congrès.
Chez nous, si les parents « obéissent » aux conseils des instances de santé,
les enfants reçoivent déjà 46 injections avant l’âge de six ans.
« La meilleure façon de faire consommer de la médecine est de nourrir la
légende du corps fragile et de ses agresseurs surpuissants. » (Pr Jean Paul
Escande)
95% des gens sont naturellement immunisés contre la polio en dehors de toute
vaccination (Dr Morton Klein)
« Les vaccinations massives dans le tiers-monde n’ont pas réduit la
mortalité infantile et ont en revanche privé ces pays d’une aide qui aurait
été beaucoup plus précieuse : une aide alimentaire de base et une
distribution d’eau propre. » (Dr Mohamed Bouguerra, Directeur de recherche
associé au CNRS)
« 68.3% seulement des parents qui ont au minimum le niveau du bac vaccinent
leurs enfants contre 82% et même plus chez les ouvriers » (Courrier d’Alis,
sept 1994)
« L’obligation vaccinale fait des familles une clientèle captive pour le
pédiatre et le généraliste » (Claudine Marenco, Directeur de recherche au
CNRS)
La sclérose en plaque était quasiment inconnue chez l’enfant avant
l’introduction du vaccin contre l’hépatite B. « 30% des affections
démyélinisantes signalées chez l’enfant de moins de 15 ans sont apparus dans
le délai d’un mois ou moins après une vaccination. » (Dr Dominique Le
Houezec)
Après les accidents, le cancer est la seconde cause de mortalité chez les
enfants de moins de 12 ans. Pourquoi une maladie de dégénérescence si
précoce ?
« Les nouveaux vaccins sont maintenant issus d’OGM et de produits de
synthèse. Or le vivant ne reconnaît pas ces molécules et ne sait pas les
traiter. […] Le système immunitaire est le bien le plus précieux de
l’individu, le garant de sa personnalité ; prétendre le protéger au moyen
d’une agression directe au mépris des Lois de la Nature est purement
criminel. […] Les vaccinations ne sont évidemment pas protectrices mais
vectrices de maladies lesquelles, même si elles ne sont pas visibles
immédiatement, peuvent se déclarer à moyen ou long terme […] ouvrant la
porte à toutes les pathologies qui caractérisent notre époque et que l’on
nomme « maladies de civilisation », en pleine expansion depuis que les
vaccinations de massage ont été prodiguées. » (Jacqueline Bousquet,
Biologiste, Chercheur honoraire au CNRS)
« Primum non nocere. Avant tout, ne pas nuire » (Hippocrate, Père de la
Médecine)
© Dessin Bickel, www.bickel.fr
Extraits d'ouvrages sur le sujet:
Après le livre de Sylvie Simon - la spécialiste en la matière, auteur de
plusieurs excellents ouvrages sur le sujet - voici un livre qui mérite mieux
que son titre! Il ne s'agit pas tant en effet d'une attaque en règle contre
le Gourou Pasteur que d'une analyse très fine et rigoureuse du dogme
vaccinal, de son contexte (loi de la jungle de Darwin) et de ses travers
scientifiques mais aussi une interrogation sur le sens de la maladie, le
rôle des bactéries, des virus et des maladies infantiles et un appel au bon
sens et aux voies naturelles. Très bien écrit, cet ouvrage se lit presque
d'une traite: à recommander vivement!
POUR EN FINIR AVEC PASTEUR du Docteur Eric Ancelet
"La science "objective" devenue Religion officielle, la vaccinologie s'est
imposée progressivement comme l'un des outils essentiels du contrôle
psychosocial des populations fortement immunodéprimées et vouées, dès lors à
l'infantilisme et aux dépendances." (p.18)
"Le vaccin diffuse des informations erronées, biologiquement perverses, qui
sont à l'origine de nouveaux disfonctionnements
neuro-endocrino-immunitaires, de nouvelles formes de la maladie chronique
qu'il nous faudra contrôler par des moyens de plus en plus agressifs et
lourdement invalidants" (p.22)
"Les rares médecins restés fidèles à la Tradition, qui s'évertuent à
redonner à leurs malades les moyens de retrouver la santé, butent chaque
jour sur un obstacle colossal, quasi insurmontable, lourd, rigide et épais
comme tous les dogmes: le mythe pastorien de l'origine bactérienne des
maladies." (Dr Jean Emilger, Lausanne, p.25)
"Pasteur n'était pas médecin mais chimiste. [...] Aucun historien des
sciences digne de ce nom ne conteste le fait que Pasteur s'est trompé sur de
très nombreux points. Aucun ne conteste non plus son opportunisme, les
nombreuses entorses à la méthode qu'il professait, ou encore le pillage
d'autres chercheurs. Par contre, Pasteur est bien à l'origine du premier
grand trust pharmaceutique mondial, devenu aujourd'hui le principal
fabricant de vaccins." (Dr. Jacques Lacaze, p.28)
"[...] l'effondrement immunitaire est historiquement corrélé à la
généralisation progressive des vaccinations infantiles, à ce jour dirigées
contre DIX maladies graves inoculées avant l'âge de deux ans [...] Jamais
dans l'histoire nous n'avons connu une telle "épidémie" [...] de troubles
psycho-émotionnels, de cancers, de malformations congénitales, de maladies
génétiques et auto-immunes [...] Une contre preuve est donnée par l'état de
santé tout à fait satisfaisant et le bon développement des enfants
correctement éduqués et nourris mais non vaccinés." (p.44)
"Il n'est pas agréable de soupçonner un jour que l'information officielle,
notamment dans le domaine médical, est volontairement tronquée pour
maintenir les intérêts de lobbies industriels dont la seule motivation est
l'exploitation systématique d'une humanité maintenue en servitude par la
peur et une illusion de sécurité. Certes, il n'est pas facile de prendre
conscience que les programmes sanitaires internationaux perpétuent sans
doute, sous couvert d'humanisme, le plus gigantesque génocide de l'histoire
du monde." (p.52)
"Louis Pasteur fut un arriviste sans scrupules, assoiffé de célébrité,
sectaire, fanatique et prêt à toutes les duplicités pour imposer son nom et
lancer une gigantesque entreprise commerciale capable de vendre d'abord,
puis de faire imposer par la loi ensuite à des centaines de millions
d'enfants et d'adultes des vaccins préparés à grands coups de grossières
erreurs scientifiques délibérément camouflées" (Revue l'Ère Nouvelle, 1987)
"Depuis trois-quarts de siècles quatre dogmes faux, introduits dans la
science par Pasteur et que l'on peut qualifier de catastrophiques, ont
arrêté les progrès de la bactériologie et de la lutte contre les maladies
des êtres vivants, animaux et végétaux." (Professeur Jules Tissot, en 1946)
Ces quatre dogmes sont la panspermie atmosphérique, l'asepsie des organismes
vivants, la contagion et le monomorphisme" (p.85)
"Pasteur ignorait tout de la nature et de la biologie des virus, tel celui
de la rage qu'il inoculait pourtant à travers la peau des enfants sans tenir
compte de leur sensibilité individuelle. Nos modernes vaccinateurs en
savent-ils beaucoup plus aujourd'hui ?" (p.86)
"La vaccination et la transgenèse font partie de ces techniques appliquées
sans aucun fondement théorique solide" (p.88)
"Le 19 octobre 1868, à l'âge de 46 ans, Louis Pasteur est foudroyé par une
attaque d'hémiplégie qui paralyse son côté gauche. [...] L'hémisphère droit
et le côté gauche du corps, définitivement hors circuit chez Pasteur,
correspond classiquement à la part féminine de l'être, à la passion, au sens
artistique, à l'intuition, aux capacités de synthèse qui permettent une
vision globale du monde. Est-ce à dire que toute la microbiologie s'est
construite sur des valeurs purement masculines, l'action, l'affrontement,
l'analyse, la raison, que toute la biologie pasteurienne est infirme,
hémiplégique de naissance ?" (p.90)
"Hier comme aujourd'hui, la vaccination est avant tout un acte de foi"
(p.94)
"Toutes les vaccinations induisent des troubles subaigus ou chronique du
système immunitaire, donc de la personnalité biologique, aggravés de rappel
en rappel et de génération en génération." (p.100)
"En juillet 1885, après plusieurs décès suite à un traitement jugé
"insuffisant", il inocule un enfant de neuf ans, le désormais célèbre Joseph
Meister qui sera le "premier miraculé de la nouvelle méthode". [...] A quoi
le jeune Meister a-t-il survécu au juste ? Rien ne prouve que le chien
mordeur était enragé [...] D'autres enfants furent paraît-il mordus par le
même chien sans doute affamé ou battu, et aucun ne contracta la rage. [...]
On sait depuis longtemps qu'un animal réellement enragé ne transmet la
maladie que dans un nombre réduit de cas, entre 5 et 15%. [...] A cette
époque, on compte en France moins de 30 cas de rage mortelle par an, soit
moins de 10% des personnes mordues par des chiens certifiés enragés."
(p.105-106)
"Parmi les nombreuses "bavures" de l'époque, il y eut surtout le cas de
l'enfant Jules Rouyer, incontournable puisqu'il existe un témoignage écrit
d'Adrien Loir. [...] Mordu le 8 octobre 1886, inoculé selon cette technique
intensive, un enfant de 12 ans meurt le 26 novembre. Le père porte plainte
alors que Pasteur est absent de Paris. L'autopsie est confiée à un médecin
légiste, doyen de la Faculté de Médecine de Paris et ami de Pasteur: le
professeur Brouardel. [...] Il n'y a donc plus aucun doute: l'enfant est
décédé suite à la vaccination. Que vont faire nos pastoriens ? C'et très
simple: un faux témoignage "pour sauver la confiance du public dans la
médecine scientifique et la prévention vaccinale. Pieux mensonge, à la
mesure des bienfaits immenses que l'oeuvre de Pasteur apporte à l'humanité."
(p.107-108)
"Plusieurs enfants mourront suite aux injections expérimentales de ce serial
killer devenu l'un des héros immortels de son pays, l'un des hommes les plus
admirés au monde. Des plaintes seront déposées pour homicide, par de pauvres
gens sans notoriété ni moyens, mais resteront ignorées par la justice car
Pasteur est alors un homme protégé. Son premier vaccin sera fabriqué et
diffusé sur la base de deux cas jugés significatifs, deux jeunes garçons
robustes qui ont survécu non pas à la morsure d'un chien dont on n'a jamais
prouvé qu'il était enragé, mais aux injections mortelles du vieux chimiste
mégalomane. Très vite, ce vaccin va provoquer une hécatombe et sera retiré
du marché car il n'est pas bon que les vaccinés meurent trop vite après
l'inoculation. Pasteur devait le pressentir, car il a toujours prudemment
refusé de s'inoculer quoi que ce soit." (p.254)
"L'OMS recommande que tous les enfants fiévreux amenés dans les hôpitaux et
dispensaires soient vaccinés "tant qu'on les a sous la main", alors que la
fièvre, la malnutrition et l'existence de maladies infectieuses chroniques
constituent une contre-indication majeure à toute vaccination. [...] Au
total, de 1980 à 1995, 1 200 000 enfants ont été atteints d'une paralysie
plus grave à cause d'injections inutiles. Toujours en Inde, 20 à 30% des
enfants atteints de poliomyélite paralytique étaient à jour de leurs
vaccinations. [...] La diminution des cas en Occident n'est pas liée à la
vaccination mais à l'évolution des conditions sanitaires. De 1977 à 1990,
10% des cas enregistrés en France (11 sur 108) étaient dus au vaccin."
(p.114)
"Les successeurs [de Pasteur] ont décidé d'ignorer que sur son lit de mort
le vieil homme confia à un proche: "le microbe n'est rien, c'est le terrain
qui est tout" [la formule de Claude Bernard, contemporain et rival de
Pasteur, avec Antoine Béchamp] (p.117)
"Les vaccins sont tous potentiellement dangereux, totalement contre-indiqués
avant l'âge de deux ans et fortement déconseillés avant l'âge de sept ans.
Ils devraient être utilisés très parcimonieusement, dans des situations
exceptionnelles, en tout dernier recours, lorsque toutes les solutions
alternatives ont été épuisées, et en oeuvrant à leur abolition définitive."
(p.131)
"On s'aperçoit aujourd'hui que chaque individu a ses propres virus, ce qui
explique en partie l'inefficacité des vaccins, mais aussi leur danger par
inoculation standardisée d'une information génétique trafiquée, un leurre
qui trompe le système immunitaire et peut modifier irréversiblement le
génome de l'hôte" (p.153)
"La plupart des parents sont hantés par le spectre des convulsions et du
délire fiévreux, en relation avec leurs propres terreurs enfantines (les
angoisses de leurs propres parents) et leur asservissement aux dogmes
médicaux en vigueur, une peur irraisonnée entretenue et amplifiée par
certains médecins devenus incapables de comprendre la nature profonde de ces
processus vitaux. Le discours vaccinaliste est entièrement construit sur la
peur des complications, lesquelles sont bien souvent la conséquence de
l'acte vaccinal lui-même." (p.177)
"Chez le nouveau-né, les lymphocytes sont présents, mais ils sont eux
aussi... nouveau-nés! Leur éducation n'est pas terminée et ils ne savent pas
communiquer correctement avec les mots chimiques qui constitueront
ultérieurement leur langage. Les promoteurs de la vaccination infantile
précoce, multiple, systématique et obligatoire, n'ont pas l'air d'avoir très
bien saisi cet aspect élémentaire de la biologie.[...] La capacité de
régulation débute vers l'âge de deux ans (l'enfant se met à parler) et
atteint sa pleine maturité vers 10 ou 12 ans. Quel peut dès lors être
l'effet des multiples vaccins injectés aux nourrissons ?" (p.178)
"Selon le dogme, être bien vacciné, donc bien immunisé, c'est avoir des
anticorps circulants dans le sang. [...] Pourquoi la séropositivité
vaccinale est-elle recherchée alors que la séropositivité naturelle est
considérée comme de mauvais pronostic (sida, hépatites...) ? [...] Chez les
sidéens gravement atteints de plusieurs maladies "opportunistes", les taux
d'anticorps sont énormes, pouvant atteindre 75% au lieu de 15 à 17% chez le
sujet sain! Les anticorps ne sont donc pas protecteurs, et leur production
massive traduit plutôt un affolement et une défaillance du système
immunitaire devenu incapable de contrôler la situation.[...] Ainsi, les
essais préliminaires d'un vaccin anti-sida chez des séropositifs
asymptomatiques (sans troubles visibles) se sont tous soldés par une
aggravation très rapide et une mort prématurée. [...] Les anticorps n'ont
aucun rapport avec l'immunité vraie, laquelle concerne au premier chef les
filtres muqueux et les régulateurs cellulaires." (p.181)
"Dans l'immense majorité des cas, les maladies infantiles comme l'ensemble
des maladies virales ne se produisent qu'une seule fois. L'immunité acquise
naturellement est solide, le plus souvent définitive [...] Le seul effet de
la vaccination est d'empêcher le système immunitaire d'utiliser correctement
les microbes pour se rééquilibrer!" (p.182)
"Irrecevable sur le plan scientifique, la vaccination doit devenir un acte
de foi. Irrecevable sur le plan éthique ou politique, la vaccination doit
être imposée par la force, ce que révèle la forme militarisée et policée des
campagnes vaccinales." (p.191)
"En 1995, j'eus l'occasion de poser les questions suivantes à un aréopage de
savants médecins venus prôner dans un forum la vaccination à outrance:
"sachant que de nos jours, en France, tous les enfants de moins de deux ans,
immatures sur le plan immunitaire, reçoivent en moyenne une vingtaine de
messages vaccinaux, quel sera l'état de leur système immunitaire dans 10 ou
20 ans ? Et que se passera-t-il s'ils sont alors confrontés à un germe
résistant aux antibiotiques ou à une maladie virale type Ebola ?" Il y eut
alors un très grand, très lourd et très long silence. [...] Finalement, l'un
des officiels me fit cette réponse étonnante devant plus d'une centaine de
médecins: "nous n'en savons rien" Plus tard, il ajouta: "nous savons que
nous sommes allés trop loin, mais il est trop tard, nous ne pouvons plus
faire marche arrière". (p.195)
"Un bébé "normalement vacciné" reçoit au moins 8mg d'hydroxyde d'alumine
avant l'âge d'un an, au moment où se forme son système nerveux, alors que le
système de détoxication hépatique n'est mature qu'aux alentours de 4 ans."
(p.198)
"La probabilité est nulle que le nourrisson rencontre ensemble le tétanos,
la diphtérie, la tuberculose, la poliomyélite, la coqueluche, la méningite
et l'hépatite B (celle-ci est avant tout une maladie sexuellement
transmissible, et il est somme toute assez rare que les nouveau-nés aient
des rapports sexuels). [...] Grâce aux vaccins combinés, ou administrés sur
un temps très court, tous les nouveau-nés rencontrent ces maladies toutes à
la fois, sous forme de leurres, et ils n'ont strictement rien à leur
opposer. Toute vaccination est donc une infamie avant deux ans, toujours
formellement contre-indiquée avant sept ans. Vacciner contre les "maladies
infantiles" est la plus grande aberration de l'obscurantisme pastorien,
rigoureusement équivalent à interdire à un enfant de marcher ou de parler
quand le moment est venu. [...] On en arrive à penser que nos sociétés
produisent volontairement des individus immatures, angoissés et suicidaires,
sans doute plus faciles à manipuler." (p.200)
"Les nouveaux vaccins, inaugurés avec l'hépatite B, sont fabriqués à partir
de cellules animales artificiellement cancérisées, infectées par le virus
contre lequel on cherche à se prémunir, et nourries au sérum de veau. A
priori, depuis la fameuse "affaire des prions", toute substance d'origine
bovine est pourtant interdite dans la fabrication de produits biologiques
tels que les vaccins." (p.201)
"Les enfants ayant reçu dans leurs deux premières années de vie une dizaine
d'injections vaccinales sont immunodéprimés À VIE." (p.202)
"Guérir, c'est refuser toutes les pollutions, ne plus donner prise aux
psychoses collectives, respecter l'autre et dialoguer plutôt que combattre."
(p.229)
© Dessin Bickel, www.bickel.fr
Après la journaliste et le Docteur vétérinaire, c'est au tour d'un avocat de
se pencher sur la questions sous forme de 29 questions - très pertinentes -
de d'autant de réponses fort bien documentées via des citations de multiples
ouvrages (il en liste 47 au total!) Le côté pratique de cet ouvrage réside
dans les exemples types de tracasseries administratives susceptibles de se
produire lorsque l'on souhaite appliquer le principe de précaution (le cas
de notre mésaventure avec la crèche n'étant malheureusement pas traité) et
les exemples de courrier type (assez longs) à adresser aux responsables
dogmatiques. Bon courage!
VACCINS, ON NOUS AURAIT MENTI ? de Maître Jean-Pierre Joseph
"Les vaccins, selon de nombreux scientifiques, sont responsables de milliers
de maladies neurologiques graves, scléroses en plaques, encéphalites, morts
subites du nourrisson... Le personnel des hôpitaux, les rares fois où il
fait la relation de cause à effet entre le vaccin et la maladie, aurait la
consigne, soit de ne rien dire aux familles, soit de les culpabiliser en
disant par exemple "Son organisme n'a pas supporté le vaccin..." Dans
certains hôpitaux psychiatriques, il existe des pavillons entiers, peuplés
de malades, hospitalisés à vie avec le discret diagnostic d'encéphalite
post-vaccinale." (p.25)
"La lecture de simples citations extraites de ces ouvrages, conduit tout
lecteur à la conclusion incontournable suivant laquelle les enfants sont
victimes d'un empoisonnement collectif et qu'il est plus que temps de
réagir. En outre, à certaines époques, des médecins dénonçaient le fait que
la quasi-totalité de leurs confrères étaient dans l'ignorance totale de ces
informations, car l'information médicale en France passe entièrement par les
laboratoires pharmaceutiques." (p.33)
"Le fait de refuser d'administrer des produits inefficaces et toxiques à des
enfants ne peut s'assimiler à une privation de soins, ou à une mise en
danger de la vie d'autrui. Bien au contraire, le fait d'imposer
l'administration de produits toxiques inutiles à des enfants constitue le
délit de mise en danger de la vie d'autrui et peut, à long terme, constituer
le crime d'empoisonnement ou d'administration de substances nuisibles."
(p.35)
"Il n'a jamais été prouvé scientifiquement que les vaccins étaient efficaces
et sans danger... Le principe de la vaccination constitue la plus
monstrueuse erreur médicale et scientifique du siècle et mène l'humanité à
une disparition prématurée. On ne compte plus aujourd'hui les cas de mort
subite du nourrisson, sclérose en plaques, maladie d'Alzheimer, cancers,
dermatoses, et d'affections nouvelles incurables dues aux vaccins...
L'individu vacciné est devenu un véritable réservoir à virus..." (Dr Louis
De Brouwer, Vaccination erreur médicale du siècle)
"La vaccination encourage la dépendance médicale et renforce la croyance de
l'inefficacité de notre système immunitaire. Elle crée des assistés
permanents... Elle encourage la dépendance morale et financière des pays du
Tiers monde vis-à-vis des pays occidentaux..." (Dr G. Lanctôt, La Mafia
Médicale)
"En résumé, ce sont les pays dans lesquels la vaccination est la moins
pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la
France détient le record des cas de tétanos après le Portugal." (Sylvie
Simon, Vaccination, l'Overdose)
"Ce n'est pas une pratique médicale sensée que de risquer sa vie en se
soumettant à une intervention probablement inefficace, afin d'éviter une
maladie qui ne surviendra vraisemblablement jamais..." (Dr Kris Glaublomme)
"Les japonais, à la suite de quelques décès consécutifs à la vaccination
anticoquelucheuse, ont fait passer l'âge des premières vaccinations à deux
ans. Ce seul changement dans le calendrier vaccinal a fait pratiquement
disparaître les morts subites du nourrisson. Actuellement, grâce à cette
mesure, c'est le Japon qui a le plus faible taux de morts subites du
nourrisson au monde!" (Dr Jean Meric, Vaccinations, je ne serai plus
complice)
"Tout médecin généraliste non obtus sait que l'hépatite B est une maladie
qui guérit spontanément dans plus de 9 cas sur 10 [...] En près de 20 ans,
et sans vaccination, le nombre de cas d'hépatite B avait diminué de plus de
90%!" (p.76-78)
"L'institut américain de phamacovigilance VAERS estime que de manière
générale, un cas sur 100 seulement des accidents post vaccinaux lui sont
rapportés." (p.79)
"Un groupe d'infirmière me confia un jour: "Compte tenu du niveau actuel de
nos "experts", on se demande s'il ne vaut pas mieux, quand on est malade, de
se faire soigner par un vétérinaire plutôt que par un médecin..." (p.84)
"S'il y a eu aux USA 500 décès et 300 000 effets indésirables, nous pouvons
donc nous attendre, en France, "grâce" à ce vaccin [contre le cancer du col
de l'utérus], à 5 fois moins, soit: 100 décès et 60 000 maladies graves
[Selon le VAERS: paralysies, syndromes de Guillain Barré, crises
d'épilepsie, attaques cardiaques, fausses couches), pour protéger
(soi-disant) 180 filles "risquant" un cancer" (p.96)
"Depuis 1957, l'OMS ne recense dans les statistiques que les formes
paralytiques de poliomyélite, alors qu'avant la vaccination, toutes les
formes de polio étaient incluses, ce qui permet de faire apparaître une
régression des cas ce qui est loin d'être la vérité." (Dr Scheibner, Les
astuces statistiques)
"Un vaccin est une substance "préparée à partir de microbes, virus ou
parasites qui inoculés à un individu lui confère une immunité contre le
germe correspondant." (Définition du Petit Larousse). Or, il est évident que
les produits inoculés aux français ne sont pas réellement des vaccins
puisqu'ils n'immunisent pas et puisqu'ils induisent de graves, voire mortels
effets secondaires." (p.145)
"Il est aujourd'hui démontré que la campagne des vaccinations contre
l'hepatite B en 1994-1994 a déclenché plusieurs milliers de cas de sclérose
en plaque. [...] Dès qu'un nouveau produit concernant le même "vaccin" est
mis sur le marché, cela permet de penser à l'inefficacité de l'ancien."
(p.145)
"Si vous interrogez des étudiants en médecine, beaucoup vous diront qu'au
cours de toutes leurs années d'études, la plupart d'entre eux ont bénéficié
d'une séance unique de 2h sur les vaccins, ce qui veut dire qu'ils ne savent
rien." (p.155)
"Les parlementaires ayant institué les obligations vaccinales, dans les
années 60, connaissaient les risques dus aux vaccinations [...] Ils ont donc
assorti l'obligation vaccinale d'examens médicaux préalables à toute
vaccination. Si ces textes, parus dès 1959, avaient été appliqués, tout
enfant se verrait délivrer, avant toute injection: ou bien un certificat de
contre-indication, ou bien un certificat d'indication à la vaccination.
Mais, curieusement, ces textes, bien qu'ils aient été repris récemment dans
le Code de Santé publique, ne sont jamais appliqués." (p.156)
[Exemple de lettres destinées aux administrations dogmatiques] : "Je suis
obligée de constater que la composition des vaccins en pharmacie dans notre
région, comprend des produits hautement toxiques. Où puis-je trouver des
vaccins dont l'absence de dangerosité est garantie ? Je rappelle en effet
que l'administration de substances nuisibles à la santé est un crime puni
par la Loi. En connaissant actuellement les risques encourus par un enfant à
recevoir une injection dont l'efficacité est hautement discutable, tout
citoyen responsable ne peut plus aujourd'hui se voiler la face, et se doit
de prendre les plus élémentaires précautions, faute d'être un jour poursuivi
pour ne pas l'avoir fait." (p.162)
"Aucun vaccin ne protège des maladies contre lesquelles il est censé agir
[...] Si vous n'êtes pas convaincu de la pertinence de ces critiques, suivez
au moins l'exemple de ce tartufe industriel, grand producteur de vaccins
contre l'hepatite B, qui adopte sans vergogne le principe de précaution en
interdisant cette inoculation à tous les membres de sa famille..." (Dr Jean
Elmiger)
Terminons (pour le moment) avec le dessinateur Bickel, qui nous a très
gentiment permis d'illustrer cette page de son talent. Son livre est bien
davantage qu'un recueil d'une centaine de dessins humoristiques puisqu'il
replace aussi la vaccination dans son contexte historique, est parsemé de
références scientifiques, de citations de médecins et de diagrammes sans
ambiguïté sur la supercherie vaccinale. Un petit dessin valant un grand
discours, on fait ainsi un bon tour de la question sans prise de tête.
Cerise sur le gâteau: même les enfants apprécient ce qui permet de traiter
la question en famille et dans la bonne humeur! Le livre est disponible en
anglais sur Amazon ou en français (eh oui!) directement auprès de l'auteur
sur www.bickel.fr
VACCINATION: LA GRANDE ILLUSION de Bickel
"Les idées pasteuriennes propagées et enseignées comme un catéchisme
d'enfant de choeur font reculer l'intelligence et donc la civilisation."
(Dr. René Dufilho)
"Toute vaccination est un scandale si on la considère sur un plan
scientifique" (Dr. Jacques Kalmar)
"Des monstruosités comme la vaccination sont fondées non sur la science mais
sur l'argent." (Pr. Jules Tissot)
"La présence d'un oedème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent
peu de temps après une vaccination contre l'hépatite B est inquiétante...
Les enfants de moins de 14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir
de réactions négatives après avoir reçu le vaccin de l'hépatite B que
d'attraper la maladie." (Jane Orient, Médecin, Directrice de l'Association
des médecins américains et des chirurgiens)
"Les vaccinations, au moins telles qu'elles sont présentées ressortissent
plus à la magie qu'à l'immunologie" (Dr. Jacques Kalmar).
"Les vaccins peuvent causer l'arthrite chronique évolutive, la sclérose en
plaques, le lupus systémique érythémateux, la maladie de Parkinson et le
cancer." (Pr. R. Simpson de l'American Cancer Society)
"C'est une véritable épidémie... Il est grotesque de prétendre qu'il
n'existe aucun lien entre l'autisme et la vaccination sauf des coïncidences.
La vérité est que des enfants sont blessés par les vaccinations." (Dr.
Bernard Rimland, Directeur et fondateur du Autism Research Inst, of San
Diego)
"Peu de médecins sont disposés à attribuer un décès ou une complication à
une méthode qu'ils ont eux-mêmes recommandée et à laquelle ils croient" (Pr.
Georges Dick, British Medical Journal, juillet 1971)
"Les cancers en Afrique étaient apparus cinq ans après les premières
campagnes de vaccination" (Dr. Albert Schweitzer, Prix Nobel)
"La médecine crée ses propres clients et les prolonge" (Pr. Péquignot,
Conférence mondiale des médecins)
"2/3 des 103 enfants décédés de la mort subite du nourrisson avaient reçu le
vaccin DTP dans les 3 semaines précédant la mort. Certains même étaient
morts le lendemain." (Dr. Torch, Neurology 1982.)
"Continuer à vacciner des populations entières, depuis 1978 des centaines de
millions d'individus, constitue non seulement une erreur, mais également un
acte criminel, véritable génocide, à l'échelle planétaire." (Dr. Louis de
Brouwer, Sida, le vertige)
"Le drame c'est que les hommes soient aveugles au point de ne plus être
accessibles qu'à l'erreur. Et les hôpitaux, les cimetières sont pleins de
gens qui ont accepté, avec satisfaction, de se laisser assassiner
stupidement par la malveillance de la seule force qu'ils ont cultivée avec
soin: la force de leur IGNORANCE." (Dr. Jacques Kalmar)
© Dessin Bickel, www.bickel.fr
Sélection de livres
Journaliste d'investigation scientifique, Docteur ou Avocat, de plus en plus
de voix s'élèvent pour dénoncer le lobby vaccinal. Plus d'une cinquantaine
de livres existent sur le sujet et - détail important - aucun n'a jamais été
condamné par la justice! Ce qu'ils révèlent serait-il donc la vérité
inavouable ?
Réactions à quelques articles "pro vaccination sans réflexion"
La pro-vaccination est la norme dans les médias, peu de journalistes étant
encore habitués ou habilités à réfléchir au-delà des préjugés et des
intérêts économiques. Il est toutefois surprenant de voir de tels articles
dans des publications se prévalant d'une liberté de ton, à l'exemple du
Magazine Marianne. D'où mes mails au service des lecteurs, évidemment
demeurés sans réponse...
Le 11 mars 2015:
Bravo à Marianne pour votre dossier « Les fous du complot ». Quelle belle
démonstration en effet du sérieux journalistique que de parler de tout et de
n’importe quoi tout en rajoutant – pour faire bonne mesure – une couche de
superficialité !
Il suffit dorénavant de parler de la « théorie du complot » – variante du
point Godwin – pour discréditer un argument mais il est intéressant de
constater à quel point certains journalistes se discréditent aussi
facilement eux-mêmes. C’est à se demander si leur "imposture" (faire passer
de la manipulation pour de l’information) n’est pas la première cause du
succès de ces « théories du complot »…
Démonstration avec l’article « Les grands malades de la santé ».
Il est certainement plus facile d’ignorer la cinquantaine de livres contre
les vaccins que d’en ouvrir un, plus amusant de ridiculiser la crème Budwig
que de se pencher sur les travaux du Dr. Kousmine, plus caricatural de
parler de « bouteille d’huile de lin » que de la vitamine B17, plus
« politiquement correct » de reprendre les thèses officielles que
d’envisager un autre paradigme…. « L’ennemi de la vérité, ce n’est pas le
mensonge, c’est le mythe ! » écrivait Boris Cyrulnik.
Si « la parole des experts, des médecins, des scientifiques ne paraît plus
légitime », n’est-ce pas avant tout parce que les conflits d’intérêts et le
dogmatisme sont monnaie-courante ? Voilà belle lurette qu’il n’est plus
question de science mais de scientisme, moins question de santé que de
gestion de la maladie… en effet autrement plus rentable !
La France est le premier fabricant mondial de vaccins et l’un des rares pays
en Europe a encore imposer la vaccination… mais cela n’a évidemment rien à
voir ! De même, les allemands sont certainement de « grands malades », eux
qui ont diligenté une étude à grande échelle démontrant la meilleure santé
des enfants non vaccinés… Voir http://lemendiant.fr/vaccins/index.htm
N’est-ce pas d’ailleurs le seul argument valable : l’épreuve et les preuves
des faits ? N’est-il pas pour le moins paradoxal de constater que nous
autres « grands malades de la santé », sommes en général – et avec nos
enfants – en bien meilleure santé que les autres ? Mais cela, pas question
évidemment d’en parler ! Alors, complot journalistique ?
Frat’airnellement,
Le Mendiant
Le 16 avril 2015
Bonjour,
[...]
Le cœur du débat maintenant: "le virus du doute" (N°936, p.11) Une nouvelle
fois, un journaliste de Marianne démontre que la pensée unique est à ce
point confortable qu'elle annihile tout esprit critique:
- La peur des aiguilles ? Merci de caricaturer à ce point les
"anti-vaccinations" mais les aiguilles sont vraiment le cadet de nos
soucis !
- Le DTP reste obligatoire ? Oui mais il demeure surtout introuvable,
remplacé par des vaccins renfermant 2 ou 3 autres valences (et évidemment
bien plus coûteux). Le rappeler serait-il déjà trop borderline ?
- Le mépris de la santé publique ? J’aimerais que l’on m’explique quel
risque fait courir un non-vacciné à la société si les vaccins sont
véritablement efficaces ? N’y aurait-il pas là contradiction ? Les allemands
ou les suisses sont-ils des pays où la santé publique est déficiente ?
- La multiplication des vaccins dont l’efficacité n’est pas démontrée ? Oui
et c’est le cas pour le DTP associé aux autres valences. Comme le rappelle
le Docteur Eric Ancelet, « La probabilité est nulle que le nourrisson
rencontre ensemble le tétanos, la diphtérie, la tuberculose, la
poliomyélite, la coqueluche, la méningite et l'hépatite B (celle-ci est
avant tout une maladie sexuellement transmissible, et il est somme toute
assez rare que les nouveau-nés aient des rapports sexuels). »
- La négation des possibles effets secondaires graves de certaines piqûres ?
Votre journaliste pose quelques bonnes questions mais demeure prisonnier du
dogme : les vaccins sont dangereux mais il ne faut surtout pas les remettre
en cause ! N’est-ce pas pourtant le rôle des journalistes de creuser un
minimum les sujets ? En lisant l’un des cinquante livres disponible sur le
sujet par exemple ?
- La réapparition de la rougeole ? Comment expliquer, à rebours, si la
vaccination était efficace, la non-éradication du tétanos, dont la
survenance n’entraîne d’ailleurs aucune immunisation ? Le principe même des
vaccins serait-il donc à revoir ?
- La patrie de Pasteur ? Oui et aussi la patrie du premier fabricant mondial
de vaccins et une exception européenne puisque quasiment tous les autres
pays européens ont supprimé la vaccination obligatoire! Au passage, Pasteur
n’était pas médecin mais chimiste, a reconnu s’être trompé et n’a jamais
accepté de se faire vacciner ! Périco Légasse a bien le droit de s’en
prendre à la pasteurisation des fromages (page 85) mais, s’en prendre à la
vaccination, surtout pas, sujet tabou !
Etonnant comme vous êtes, sur certains sujets, réfractaire à toute remise en
question… Le jour où Marianne interrogera véritablement le « système de
maladies français », dont les vaccins sont évidemment la première étape en
mettant à plat le système immunitaire des nourrissons, ce sera, pour le
coup, un grand bond en avant !
Frat’airnellement,
Le Mendiant
PS : votre article et cette réaction seront publiés sur mon site
http://www.lemendiant.fr/vaccins/index.htm
« Celui qui ne gueule pas la Vérité, quand il connaît la Vérité,
se fait le complice des menteurs et des faussaires »
(Charles Péguy)
D'autres scandales et manipulations ?
Le conte écologique gratuit De l'air!
Le conte alimentaire gratuit Bon appétit!
1
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Pureté de l'Air et oxygénation cellulaire
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3
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4
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La puissance des huiles... essentielles!
6
THERA
Le choix des thérapies naturelles
7
MENTAL
Un mental apaisé et serein
8
SENS
Réfléxions et Sens de la Vie!
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auteurs cités.
Toute reproduction de ce site est vivement encouragée afin de diffuser
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Me contacter: vaccins[at]lemendiant.fr
Protéger les enfants des vaccins non obligatoires et de
la secte vaccinale